Le recrutement d’un radical en faveur de la légalisation des drogues montre que Carney est pire que Justin Trudeau.
Ottawa (Ontario) – Hier, Gregor Robertson, un activiste radical anti-ressources et pour la légalisation des drogues, a annoncé qu’il serait le candidat libéral de Mark Carney à Vancouver Fraserview – Burnaby-Sud.
Le bilan désastreux de Robertson en tant que maire de Vancouver, notamment l’augmentation de 149 % du prix des logements, l’augmentation de 141% des taxes sur le logement et l’augmentation de 600 % des surdoses de drogue, devrait le disqualifier. Mais Mark Carney l’a choisi parce qu’ils partagent les mêmes valeurs.
Que pense le candidat choisi par Mark Carney ?
Sur l’expérience de décriminalisation ratée des libéraux en Colombie-Britannique
Il a déclaré que l’augmentation à l’accès au fentanyl et à l’héroïne « sauverait des vies ».
Sur les centres d’injections de drogues
Il a écrit à un comité de la Chambre des communes déclarant que « l’impact du centre [d’injection de drogue] sur les taux de criminalité et les expressions de soutien ou d’opposition de la communauté ne devrait pas être pertinent pour le processus d’approbation du gouvernement fédéral ».
Sur le soi-disant « approvisionnement sûr »
Il a déclaré que le gouvernement devait « fournir davantage d’opioïdes sur ordonnance », en plaidant pour la même drogue qui a entraîné un détournement massif vers les enfants.
Il a déclaré que l’expansion de TransMountain ne valait pas « le risque désastreux » et a dépensé des centaines de milliers de dollars des contribuables en consultants pour s’opposer à ce projet.
Il a présenté un plan visant à l’interdire à Vancouver d’ici 2050.
Il a déclaré que « l’on peut se demander si la démocratie vaut la peine ».
Tout comme Mark Carney, Gregor Robertson s’est complètement trompé sur tous les enjeux importants.
Élire Mark Carney et des candidats radicaux comme Gregor Robertson signifierait un quatrième mandat libéral de politiques irresponsables.
Si Carney gagne, c’est le Canada qui perd.