Ottawa (Ontario) — Cette semaine, le Parlement a repris ses travaux pour la session d’automne, et les conservateurs se sont immédiatement mis au travail pour rétablir la promesse du Canada, où ceux qui travaillent fort peuvent mener une belle vie dans une maison abordable, dans des rues sécuritaires, unis sous notre fier drapeau.

Après une décennie de politiques libérales ratées, les Canadiens continuent de faire face à la crise du coût de la vie. Un nouveau rapport de Banques alimentaires Canada attribuant une note d’échec au gouvernement libéral pour l’insécurité alimentaire dont souffrent actuellement plus d’un quart des Canadiens.

Les Canadiens qui gagnent moins de 75 000 dollars dépensent désormais 57,3 % de leurs revenus pour des produits de première nécessité tels que l’épicerie, les services publics et les transports. Selon Statistique Canada, l’inflation alimentaire augmente de 3,4 % d’une année sur l’autre, soit près de 70 % plus rapidement que l’objectif d’inflation du gouvernement.

Les femmes perdent leur emploi à un rythme alarmant, les demandes d’assurance-emploi pour les femmes âgées de 25 à 54 ans ayant bondi de 12 % rien qu’en juillet. Les femmes de plus de 55 ans ont connu une hausse de 13 % d’une année sur l’autre, avec 23 % de femmes de plus bénéficiant de l’assurance-emploi par rapport à l’année dernière.

Cela intervient alors que le directeur parlementaire du budget, qui est indépendant, a révélé mardi en comité que le marché du travail « est épouvantable » et qu’il « ne sait pas si le gouvernement dispose actuellement de repères budgétaires ». Il a en outre averti que si le gouvernement libéral tentait de jouer avec les chiffres en matière de déficits et de niveaux d’endettement, les Canadiens seraient contraints de payer des coûts plus élevés pour la dette. Les libéraux ont continué d’esquiver les questions répétées des conservateurs qui demandaient des éclaircissements sur leur déficit budgétaire toujours plus retardé et toujours plus important, que Carney a déjà doublé, faisant grimper le coût de tout.

Pour inverser la vague de criminalité libérale, les conservateurs ont proposé des plans concrets pour rétablir la sécurité dans nos rues :

  • La Loi sur la prison, pas la liberté sous caution visant à abroger et à remplacer le « principe de modération » libéral, en introduisant une nouvelle catégorie « infractions graves » avec des conditions de libération sous caution du renversement du fardeau de la preuve pour les infractions graves, renforçant ainsi nos lois sur la libération sous caution et nos normes d’évaluation des risques.
  • Une motion demandant au gouvernement d’adopter une loi des trois prises, empêchant les criminels condamnés pour trois infractions graves d’obtenir une libération sous caution, une mise à l’épreuve, une libération conditionnelle ou une assignation à résidence, et maintenant les criminels violents en prison pendant au moins 10 ans.
  • Le projet de loi C-225 de Frank Caputo vise à traiter le meurtre d’un partenaire intime actuel ou ancien comme un meurtre au premier degré et oblige les personnes reconnues coupables de violence conjugale au cours des cinq dernières années à être libérées uniquement par un juge, entre autres dispositions.

Les Canadiens ont obtenu exactement le contraire de ce pour quoi ils ont voté, car Carney n’est qu’un autre libéral trompeur. Les conservateurs demanderont des comptes aux libéraux et se battront pour un plus grand pouvoir d’achat, assurer la sécurité dans les rues et protéger les frontières dans un Canada fort et autonome.