Ottawa (Ontario) – Alors que Mark Carney recomposait le cabinet de son prédécesseur et poursuivait sa tournée jet-set inutile, les conservateurs soulignaient comment ses échecs retentissants avaient fait grimper le prix du panier d’épicerie et poussé un nombre record de Canadiens vers les banques alimentaires.

Lundi, Feed Ontario a publié son Rapport sur la faim, confirmant ce que les gens pensaient : les Canadiens ne peuvent pas se permettre le coût de Mark Carney. La hausse du prix des aliments a entraîné 8,7 millions de visites individuelles dans les banques alimentaires de l’Ontario, soit une hausse de 13 % par rapport à l’année dernière.

Malheureusement, la situation devrait encore s’aggraver. Publié également cette semaine, le Rapport annuel sur les prix alimentaires au Canada 2026 a confirmé que le prix des aliments devrait encore augmenter l’année prochaine, ce qui coûtera aux familles canadiennes près de 1 000 dollars de plus par an rien qu’en nourriture. Le prix des aliments a atteint des sommets historiques, atteignant 338 dollars par semaine pour une famille de quatre personnes l’année prochaine. Le rapport révèle également que 86 % des Canadiens réduisent leur consommation de viande en raison de la flambée des prix du bœuf, du poulet et du porc, un trio qui voit rarement son prix augmenter en même temps.

Les travailleurs canadiens ont reçu une autre mauvaise nouvelle lorsque Algoma Steel a renvoyé un tiers de ses effectifs à Sault-Sainte-Marie. Les conservateurs ont demandé un débat d’urgence après que Mark Carney a échoué à protéger les emplois canadiens et à « négocier une victoire », mais le président a rejeté la demande.

L’incapacité de Mark Carney à conclure un accord avant la date limite du 21 juillet s’est également fait sentir en Colombie-Britannique, où l’usine de pâte à papier de Crofton a informé ses employés qu’elle fermerait définitivement, entraînant la perte de 375 emplois. Les députés conservateurs de l’île de Vancouver ont appelé Mark Carney à se mobiliser et à mettre fin à une décennie d’échecs diplomatiques pour notre industrie du bois.

Le fait de ne pas avoir obtenu l’accord promis n’est pas la seule promesse que Mark Carney n’a pas tenue. Le Bureau du directeur parlementaire du budget a indiqué cette semaine que le programme phare des libéraux en matière de construction de logements ne permettra d’ajouter que 5 200 logements par an. C’est bien loin de l’objectif promis de 500 000 nouveaux logements par an.

Les conservateurs ont également proposé des solutions aux graves lacunes des libéraux en matière d’immigration. L’honorable Michelle Rempel Garner, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de l’Immigration, a demandé aux libéraux de rétablir les cérémonies de citoyenneté en personne dans le cadre d’un ensemble de mesures visant à réparer le système d’immigration brisé.

Michelle Rempel Garner a également proposé un amendement supplémentaire au projet de loi C-12, qui empêcherait les libéraux d’utiliser les pouvoirs extraordinaires prévus à la partie 7 pour modifier, prolonger ou annuler des visas ou des cartes de résident permanent afin de prolonger en masse les visas de travail temporaires.

Les conservateurs ont également été encouragés de voir le projet de loi C-225 du député Frank Caputo, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de la Sécurité publique, visant à renforcer la réponse juridique à la violence entre partenaires intimes, également connu sous le nom de « Loi de Bailey », être adopté à l’unanimité en deuxième lecture.

Par ailleurs, le député Andrew Lawton a publié un article d’opinion demandant aux libéraux de rendre des comptes sur leur guerre inutile contre la liberté religieuse avec le projet de loi C-9, défendant les croyants du Canada et soutenant le droit de lire et de partager des textes sacrés.

Cette semaine, les Canadiens ont été contraints de payer chaque jour le coût de Mark Carney, avec la flambée des prix de la nourriture et la fréquentation des banques alimentaires, l’effondrement des promesses en matière de logement et la fermeture d’usines sidérurgiques et de scieries, entraînant le congédiement de travailleurs canadiens. Chaque jour, les conservateurs ont continué à défendre une vie abordable avec des emplois bien rémunérés et à présenter des plans concrets pour rétablir la sécurité dans les rues et renforcer les frontières.