Ottawa (Ontario) — La deuxième semaine de la session d’automne a été une nouvelle semaine fructueuse dans la lutte pour les Canadiens laissés pour compte par les libéraux. Alors que les conservateurs se concentraient sur le rétablissement d’un plus grand pouvoir d’achat, Carney a commencé la semaine en continuant à détourner l’attention de son bilan en matière de criminalité galopante, d’endettement, d’immigration et de pertes d’emplois.
La reconnaissance par Carney d’un État Hamas qui récompense les terroristes pour leurs attaques barbares contre des civils innocents montre clairement où se situent ses priorités. Alors qu’il fait des annonces à l’étranger pour détourner l’attention de son bilan désastreux au Canada, les conservateurs continuent de se concentrer sur ce qui est bon pour les Canadiens.
Cela signifie également tenir Carney responsable de ses engagements. Mark Carney a brisé sa promesse de « faire des choses auparavant jugées impossibles à une vitesse que nous n’avons pas vue depuis des générations ». Au lieu de mettre fin aux lois qui bloquent la construction, il n’a fait que créer de nouvelles bureaucraties et poursuivre les mêmes politiques libérales qui ont bloqué la richesse et la prospérité. Lorsque les conservateurs ont présenté une motion demandant à Carney d’abroger immédiatement le plafond désastreux imposé à la production de pétrole et de gaz, les libéraux ont voté contre.
Malgré sa promesse de « dépenser moins », le directeur parlementaire du budget a confirmé cette semaine que le déficit passera de 42,2 milliards de dollars sous Trudeau à 68,5 milliards de dollars sous Carney. Carney a tenu le chien de garde financier en laisse avec un mandat de 180 jours. C’est pourquoi les conservateurs ont officiellement demandé au premier ministre de nommer le directeur parlementaire du budget pour un mandat complet de sept ans. Il est temps de dire la vérité aux Canadiens en laissant le contrôleur budgétaire faire son travail, sans craindre d’être congédié.
Entre-temps, le ministre de la Sécurité publique de Carney a finalement admis la vérité : la confiscation des armes à feu par Carney est purement politique, ne fonctionnera pas et il n’y croit même pas — mais seulement lorsqu’il pensait que personne ne l’écoutait. Cette mesure de rachat est la dernière d’une série d’échecs qui démontrent le terrible manque de jugement de Carney, raison pour laquelle les conservateurs lui ont demandé de congédier le ministre Gary Anandasangaree.
À la fin de la semaine, les conservateurs ont demandé au gouvernement de mettre fin à la taxation du panier d’épicerie. La motion viserait à supprimer les taxes cachées sur les engrais et le matériel agricole et à freiner l’inflation en inversant les déficits inflationnistes.
Cette semaine a montré que Carney n’est qu’un autre libéral trompeur, promettant une chose pour ensuite faire le contraire. Seuls les conservateurs mettront fin au vandalisme économique de Carney, protégeront les droits des Canadiens respectueux de la loi, réduiront les impôts et restaureront la promesse canadienne avec un plus grand pouvoir d’achat.