Le plan ramène les subventions d’apprentissage que les libéraux sont en train de supprimer, finance des centres de formation pour 350 000 travailleurs — pour reprendre le contrôle de notre économie face aux Américains.
Ottawa (Ontario) – Le chef conservateur Pierre Poilievre a déclaré aujourd’hui que son gouvernement conservateur du Canada d’abord travaillera pour améliorer la formation de la prochaine génération de travailleurs. « Plus de travailleurs, moins de paperasse » fait partie du plan économique de gros bon sens de Poilievre, qui prévoit plus de centres de formation, des subventions directes et un accès plus rapide à l’assurance-emploi pour les apprentis des métiers à licence, afin de leur offrir de plus gros chèques de paie et à nous rendre moins dépendants des Américains. Le plan de Poilievre permettra de :
- Rétablir les subventions à l’apprentissage pouvant atteindre 4 000 $. Le gouvernement conservateur précédent a créé ces subventions, mais les libéraux de Justin Trudeau les annuleront à la fin de ce mois, laissant les travailleurs canadiens de côté.
- Financer des centres de formation qui permettront de former 350 000 jeunes travailleurs sur 5 ans en élargissant le Programme pour la formation et l’innovation en milieu syndical. Les conservateurs veilleront à ce que les bâtiments et les centres où ces personnes sont formées soient également admissibles au financement du Programme pour la formation et l’innovation en milieu syndical. Les petits syndicats auront également un accès égal au financement qui couvre jusqu’à 75 % des coûts de construction et de fonctionnement de ces programmes.
- Créer une catégorie spéciale de paiement rapide de l’assurance-emploi pour les gens de métier qualifiés en permettant aux centres de formation syndicaux et aux collèges de préinscrire les apprentis à l’assurance-emploi. Les travailleurs vont pouvoir obtenir rapidement le soutien auquel ils ont droit.
- Travailler avec les provinces pour harmoniser les réglementations en matière de santé et de sécurité afin que nos travailleurs puissent travailler plus rapidement partout au Canada sans formation redondante.
« Les conservateurs sont prêts à se battre pour les travailleurs canadiens. Alors que Donald Trump menace de taxer notre économie, nous devons ramener nos chèques de paie et notre production au pays, et reprendre le contrôle de notre économie aux Américains », a déclaré Poilievre. « Cela signifie qu’il faut former rapidement des Canadiens qui savent comment construire, développer et transporter les biens dont le monde a besoin. »
Après une décennie perdue sous les libéraux, l’économie canadienne n’a jamais été aussi faible et dépendante des Américains. Le vandalisme économique des libéraux a entraîné la pire baisse du niveau de vie des Canadiens depuis quarante ans. Les charpentiers qui construisent nos maisons n’ont plus les moyens de s’en acheter une après que le gouvernement libéral a doublé les coûts du logement. Et les dépenses incontrôlées du gouvernement Carney-Trudeau ont fait que la classe moyenne canadienne paie maintenant plus d’impôts que lorsque les libéraux sont arrivés au pouvoir il y a dix ans. Tout cela avant que les tarifs douaniers ne soient instaurés. Ils espèrent maintenant être récompensés par un quatrième mandat au pouvoir pour faire encore plus de dommages.
« Les conservateurs de gros bon sens travailleront avec nos syndicats pour défendre les travailleurs et fournir les investissements nécessaires pour rétablir la promesse de notre pays », a promis Poilievre. « Mon gouvernement conservateur travaillera pour les gens qui font le travail. »
Nous paierons ces investissements en réduisant la surcharge bureaucratique du gouvernement fédéral.
Après la décennie perdue des libéraux, les élire une quatrième fois ne fera qu’empirer les choses. Il est temps de mettre le Canada d’abord, une fois pour toutes. Pierre Poilievre rétablira la promesse du Canada. Où travailler fort vous permet de mener une belle vie, dans une belle maison, dans un quartier sécuritaire, protégée par des frontières solides et des troupes courageuses, sous un drapeau fier. C’est ce que signifie mettre le Canada d’abord.