Les grands projets comme GNL Québec au Saguenay seront accélérés par la nouvelle désignation annoncée par les conservateurs du Canada d’abord.

Jonquière (Québec) – Aujourd’hui, le chef conservateur Pierre Poilievre était au Saguenay pour annoncer son plan visant à accélérer l’achèvement du projet GNL Québec en le désignant comme une « zone canadienne prête à bâtir ».

Ces nouvelles zones seront des zones préapprouvées et préautorisées pour la construction de grands projets tels que des mines, des centres de données, des centrales électriques et des usines de liquéfaction de GNL. Cela signifie que les permis ne prendront pas seulement moins de temps, mais qu’ils seront déjà accordés sans demande, de sorte que les entreprises auront la certitude d’investir et de se lancer.

Cette rapidité et cette certitude ramèneront les investisseurs dans des régions comme le Saguenay après une décennie perdue par les libéraux qui ont bloqué des projets comme GNL Québec. La nouvelle approche de Poilievre permettra de créer des milliers d’emplois pour les travailleurs canadiens dans des régions comme le Saguenay et de reprendre le contrôle de notre économie des mains des États-Unis.

Le gouvernement conservateur réalisera les zones canadienne prêtes à bâtir en : 

  1. Identifiant un emplacement qui convient à une centrale électrique, une usine de GNL, un pipeline ou tout autre projet d’envergure.
  2. S’assurant qu’il est sans danger pour les Canadiens et l’environnement, grâce à une étude rigoureuse.
  3. Travaillant avec les autres niveaux de gouvernement et en consultant les Premières Nations pour définir le zonage, les permis et les conditions de construction.
  4. Offrant un service de prépermis avant même de recevoir une demande afin que les permis puissent être publiés en ligne avec une liste de contrôle des exigences pour protéger la nature et les personnes. Les entreprises seraient toujours tenues de respecter les exigences en matière de santé, de sécurité et d’environnement. 

Cela signifie que les entreprises pourraient acheter le terrain, embaucher des personnes et bâtir, sachant qu’elles ont déjà les permis. GNL Québec est un parfait exemple de la façon dont les zones canadiennes prêtes à bâtir créeront des emplois chez nous.

« Pensez à une région qui est parfaite pour la liquéfaction et l’exportation de gaz, comme ici même au Saguenay », a déclaré Poilievre. « Nous publierions un permis en ligne, avec les exigences normales en matière de sécurité et d’environnement. Ensuite, les entreprises pourraient venir immédiatement et commencer à bâtir et à embaucher des Canadiens pour générer de plus gros chèques de paie. Cela nous permettrait également d’exporter l’énergie canadienne vers l’Europe, mettant ainsi fin à la dépendance européenne au gaz russe, tout en transformant les dollars des dictateurs en salaires pour notre peuple. »

Les conservateurs de gros bons sens travailleront avec tous les niveaux de gouvernement pour s’assurer que les projets sont réalisés aussi rapidement qu’ils peuvent être bâtis et sans retard inutile.