Ottawa (Ontario) – Les libéraux tentent de jouer un tour sournois aux Canadiens. Ils pensent pouvoir les inciter à les réélire pour un quatrième mandat en remplaçant Justin Trudeau par Mark Carney, le principal conseiller économique de Trudeau et son successeur choisi avec soin.
Comme Pierre Poilievre l’a déclaré aujourd’hui devant une foule de 3 000 Canadiens patriotes réunis à London, en Ontario :
[Traduction] « Et maintenant, nos amis libéraux, après avoir causé tous ces dégâts, vont tenter un tour sournois ce soir. Ils vont essayer de se faire élire pour un quatrième mandat. Un quatrième mandat en remplaçant Justin Trudeau par son conseiller économique, Mark Carney. Les conseils de Carney ont fait grimper les impôts, le coût du logement et le prix des denrées alimentaires, tandis qu’il a personnellement profité du transfert de milliards de dollars et de milliers d’emplois du Canada vers les États-Unis. En travaillant pour Justin Trudeau, Carney a affaibli et appauvri le Canada. En travaillant pour lui-même, il a enrichi et renforcé les États-Unis. Et pour la première fois de notre histoire, le Canada aura un premier ministre sournois dont les intérêts financiers de plusieurs millions de dollars vont directement à l’encontre de notre intérêt national. Et ne vous y trompez pas, Donald Trump aura un grand sourire aux lèvres alors qu’il exploitera les nombreux conflits de Carney pour attaquer les travailleurs et les emplois canadiens. Mais nous, les conservateurs, ne les laisserons pas faire. Nous mettrons le Canada d’abord. »
Mark Carney a sournoisement refusé de dire aux Canadiens comment il compte poursuivre ce que Justin Trudeau a légué au pays en menant le Parti libéral à un quatrième mandat. Mais il a fait l’éloge de Trudeau dans son discours d’acceptation pour avoir « transformé » le Canada. Mark Carney se cache des médias et refuse de divulguer ses intérêts financiers, même s’ils peuvent aller directement contre notre intérêt national.
Bien qu’il y ait encore beaucoup de questions sans réponse auxquelles Mark Carney doit répondre, voici ce que nous savons. Il est tout comme Trudeau :
La taxe carbone fantôme de Mark Carney
Mark Carney a passé le mois dernier à essayer de tromper les Canadiens en leur faisant oublier qu’il avait personnellement conseillé à Justin Trudeau d’augmenter la taxe carbone sur le dos des travailleurs canadiens. Maintenant, il dit qu’il suspendra la taxe carbone jusqu’après les élections. Mais le bilan de Carney est clair : il a déclaré que les taxes carbone de Trudeau « ont été appliquées avec modération [et] fixées à un niveau bien trop bas ». Maintenant, il prétend qu’il va couper la taxe carbone, alors qu’en réalité, Carney a admis qu’il allait « modifier » la taxe carbone en annulant les remises, en l’augmentant encore plus et en répercutant les coûts directement sur les familles et les entreprises canadiennes. Donald Trump veut prendre les emplois canadiens, et Mark Carney est l’homme qui va les lui donner.
Carney ne révélera pas ses conflits d’intérêts
Mark Carney a sournoisement exploité une faille de la Loi sur les conflits d’intérêts et refuse de divulguer ses finances aux Canadiens. Dans son discours de remerciement ce soir, Mark Carney s’est moqué de son étalage de règles éthiques. Mark Carney pourrait faire le bon choix et publier ses finances, mais au lieu de cela, il utilise l’« échappatoire Carney », qui lui permet de devenir premier ministre pendant quatre mois sans jamais avoir à informer les Canadiens de ses intérêts financiers, même s’ils peuvent être contraires aux intérêts des travailleurs canadiens. Carney ne peut plus se cacher sournoisement maintenant qu’il est sur le point de devenir premier ministre, il doit divulguer ses actifs aux Canadiens.
Lorsque Carney gagne, les Canadiens perdent
Mark Carney le sournois a depuis longtemps fait passer ses propres profits avant les intérêts des Canadiens. Mark Carney a conseillé à Justin Trudeau de mettre fin aux projets de pipelines au Canada alors qu’il investissait dans des pipelines en Amérique latine et au Moyen-Orient. Il a également décidé de déménager le siège social de sa société et les emplois canadiens à New York, la ville natale de Donald Trump, six jours seulement après que Donald Trump eut menacé pour la première fois le Canada de tarifs douaniers injustifiés. Ensuite, il a tenté de mentir aux Canadiens, en affirmant qu’il n’avait pas participé à cette décision, jusqu’à ce que les conservateurs découvrent une lettre montrant que Carney avait personnellement plaidé en faveur de ce déménagement. On ne peut pas faire confiance à ce Carney sournois.
Carney va falsifier les comptes
Mark Carney tente de tromper les Canadiens en leur faisant oublier qu’il est celui qui a conseillé à Trudeau de doubler la dette nationale et de créer une inflation très élevée. Il a maintenant annoncé une astuce comptable sournoise dans laquelle il prévoit de falsifier les comptes pour retirer des milliards de dollars de nouvelles dépenses libérales des registres budgétaires. Sans révéler aucun détail, Carney a déclaré qu’il mettrait les dépenses du gouvernement sur différentes cartes de crédit et prétendrait que cette dette et ces dépenses déficitaires sont différentes. Mais quelle que soit la carte de crédit sur laquelle il mettra ses dépenses inflationnistes, les Canadiens devront quand même les payer par le biais d’une hausse des taxes et de l’inflation.
Carney ne peut s’arrêter de mentir
Depuis qu’il a annoncé sa candidature pour remplacer Justin Trudeau, Carney a tissé une toile de mensonges. Tout d’abord, il a dit aux Canadiens qu’il n’avait rien à faire avec le déménagement du siège social de Brookfield dans la ville natale de Donald Trump, alors qu’en réalité il a écrit une lettre à ses actionnaires pour les encourager à voter en faveur de ce déménagement. Ensuite, il a dit aux Canadiens qu’il avait aidé Paul Martin à équilibrer le budget en 1998, alors qu’il n’était même pas dans le pays. Puis, il s’est fait prendre à dire une chose en français et son contraire en anglais. Il a déclaré aux médias anglophones qu’il utiliserait les pouvoirs d’urgence fédéraux pour construire des pipelines. Mais lorsqu’on lui a posé la même question en français, Carney a promis qu’il ne construirait jamais de pipelines contre la volonté du Québec. De plus, après avoir promis aux Canadiens qu’il avait démissionné de tous ses postes, le National Post a découvert que Carney continuait à travailler sournoisement pour diverses organisations mondiales. Il a également affirmé de manière étrange que le Canada était le plus grand fournisseur de semi-conducteurs des États-Unis, alors que le Canada ne fournit même pas 1 % de ce produit aux États-Unis.
Carney a blâmé les Canadiens pour les prix inabordables du panier d’épicerie
Mark Carney tente sournoisement de blâmer les travailleurs canadiens pour les prix inabordables du panier d’épicerie. Cela est aggravé par le fait que Carney est tellement déconnecté de la réalité qu’il n’a tout simplement pas pu répondre à la question de savoir combien une famille dépense en épicerie lors du débat en français. Mark Carney a déclaré : « L’une des raisons pour lesquelles les familles ont du mal à payer leur épicerie est que nous n’avons pas eu de productivité. C’est ça le problème. » Mais Mark Carney sait que ce n’est pas ça le problème. Les Canadiens ont travaillé plus fort que jamais. Mais Carney doit blâmer les Canadiens parce qu’il sait que les seules personnes réellement responsables de la hausse du coût de la vie sont lui-même et Justin Trudeau.