Ottawa (Ontario) – Michael Cooper, ministre du Cabinet fantôme responsable de la Réforme démocratique, a fait la déclaration suivante sur les libéraux qui ont tenté de mettre fin à une enquête sur la grave fuite relative à la sécurité nationale qui se serait produite à la suite de la course à l’investiture libérale dans Don Valley-Nord :

« Après huit ans sous Justin Trudeau, les institutions démocratiques du Canada n’ont jamais été aussi vulnérables. Cela est devenu encore plus évident lorsque nous avons appris, grâce à un récent rapport du Globe and Mail, qu’il y a eu une fuite criminelle de la part de ce gouvernement libéral, qui a conduit un membre libéral à informer le candidat libéral précédent, Han Dong, qu’il était surveillé par le SCRS.

« En conséquence de cette fuite et du renseignement qui s’en est suivi, le travail effectué par nos agences de sécurité nationale pour protéger la démocratie canadienne a été clairement compromis. Cette information n’a pu être obtenue que lors d’une réunion classifiée de la sécurité nationale, ce qui signifie que seul un petit nombre de personnes au sein du gouvernement libéral a eu accès à des informations classifiées du SCRS.

« Malgré la gravité de cet enjeu, les libéraux ont voté en faveur de l’arrêt de cette enquête, tout comme ils avaient précédemment tenté de dissimuler l’ampleur de l’ingérence dans la démocratie canadienne pendant des mois, jusqu’à ce que les conservateurs du gros bon sens obligent le premier ministre à ouvrir une enquête.

« Les conservateurs de gros bon sens se battront pour faire toute la lumière sur ces fuites criminelles au Comité de la procédure et des affaires de la Chambre, après qu’une majorité des membres du Comité de l’éthique aient voté pour y renvoyer cette affaire. Trudeau doit mettre fin à sa dissimulation et commencer à faire passer la sécurité nationale du Canada avant ses intérêts partisans ».