Ottawa (Ontario) – Richard Martel, député conservateur de Chicoutimi—Le Fjord, Tamara Kronis, députée conservatrice de Nanaimo—Ladysmith et Jeff Kibble, député conservateur de Cowichan—Malahat—Langford, ont fait la déclaration suivante :
« En neuf mois, Mark Carney, qui se proclame « maître négociateur », n’a pas réussi à faire baisser les tarifs américains sur le bois d’œuvre canadien. Son échec à conclure un accord a contraint les Canadiens à choisir entre se chauffer et se nourrir pendant le temps des fêtes, alors qu’ils continuent de lutter contre la crise du coût de la vie provoquée par les libéraux, désormais sans emploi.
« Interrogé sur l’état des négociations commerciales avec les Américains, Mark Carney a répondu « on s’en fout » et qu’il n’avait « rien d’urgent » à discuter avec les Américains. Et bien, les conservateurs ne s’en foutent pas, tout comme les milliers de travailleurs du bois et leurs familles qui souffrent des échecs de Mark Carney. Des pays du monde entier ont réussi à conclure des accords commerciaux avec les Américains, de sorte que l’échec coûteux de Mark Carney sur ce front est en fait un enjeu important et qu’il y a urgence d’agir.
« Aujourd’hui, les libéraux avaient une nouvelle occasion de fournir aux Canadiens une mise à jour sur les négociations commerciales avec les Américains concernant le bois d’œuvre. Au lieu de cela, le ministre des Ressources naturelles, Tim Hodgson, a fait une annonce révolutionnaire concernant la création d’un site web et d’un « Groupe de travail sur la transformation » chargé de formuler des recommandations dans un délai de 90 jours. Oui, vous avez bien lu, un site web et quelques suggestions qui viendront un an après l’arrivée au pouvoir de Mark Carney.
« Et ce, malgré la fermeture de dizaines de scieries à travers le pays, qui a laissé des milliers de travailleurs forestiers canadiens sans emploi et causé des milliards de dollars de dommages à chaque région qui perd ces industries fondamentales.
« En revanche, sous le gouvernement Harper, les conservateurs ont réussi à conclure un accord commercial sur le bois d’œuvre après seulement 79 jours au pouvoir. Mais après 10 ans de gouvernement libéral, il n’y a toujours pas d’accord, pas d’emplois et les tarifs ont triplé pour atteindre 45 % sous Mark Carney.
« Le Canada dispose des meilleurs travailleurs du bois au monde. Ils ne veulent pas de chèques gouvernementaux, ils veulent retrouver leur emploi. L’industrie a besoin d’un accord qui apportera la stabilité nécessaire pour se développer, attirer les investisseurs et assurer la sécurité d’emploi des nombreuses familles et communautés qui dépendent de ce secteur.
« Seul un gouvernement conservateur dirigé par Pierre Poilievre va négocier un accord en position de force avec les Américains et va ramener nos emplois au pays afin que nos travailleurs forestiers puissent mener une vie abordable, dans des rues sécuritaires, sous notre fier drapeau. »