Ottawa (Ontario) — Aujourd’hui, la ville de Toronto a déclaré une « urgence en matière d’insécurité alimentaire » après que la taxe carbone et les dépenses inflationnistes du gouvernement NPD-Libéral ont fait grimper le coût de tout.
Cette déclaration fait suite à un rapport de la Daily Bread Food Bank, qui révèle que plus d’un Torontois sur dix est contraint de recourir aux banques alimentaires, dont près d’un client sur quatre est un enfant de moins de 18 ans. L’année dernière, Toronto a enregistré 3,49 millions de visites dans les banques alimentaires entre le 1er avril 2023 et le 31 mars 2024, soit une augmentation d’un million par rapport à l’année précédente et une augmentation spectaculaire de 273 % depuis avant la pandémie.
Toronto n’est pas la première ville à déclarer que l’insécurité alimentaire est une urgence. Au début du mois, le conseil municipal de Kingston a déclaré que l’insécurité alimentaire était devenue une urgence. Mississauga a également déclaré une situation d’urgence en novembre 2024.
La flambée des prix des denrées alimentaires ne se limite pas à nos plus grandes villes. En Ontario, les banques alimentaires ont reçu 7,7 millions de visites de plus d’un million de résidents entre 2023 et 2024. Et dans l’ensemble du Canada, il y a eu 2 059 636 de visites à une banque alimentaire au cours du mois de mars 2024 seulement – le nombre le plus élevé de l’histoire canadienne.
Après neuf ans avec la taxe carbone du NPD-Libéral, des millions de Canadiens souffrent de la faim. Cette année, les familles devront dépenser 800 dollars de plus que l’année dernière pour se nourrir, ce qui poussera de plus en plus de personnes vers les banques alimentaires, car elles n’ont plus les moyens de faire leurs épiceries. La dernière chose dont les Canadiens ont besoin, c’est d’une facture d’épicerie encore plus salée. Pourtant, le 1er avril, le gouvernement NPD-Libéral augmentera à nouveau la taxe carbone, dans le cadre de son plan visant à la quadrupler pour la porter à 61 cents par litre d’ici 2030. On ne peut faire confiance qu’aux conservateurs de gros bon sens pour abolir la taxe carbone et faire baisser les prix pour les Canadiens.