Ottawa (Ontario) — Les libéraux de Carney et Trudeau n’ont pas réussi à construire les logements dont les Canadiens ont besoin, ce qui a rendu les loyers, les hypothèques et les mises de fond plus chers pour tout le monde. Cela a été confirmé aujourd’hui par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), qui a constaté que les mises en chantier dans les villes canadiennes de plus de 10 000 habitants ont diminué de 17 % d’une année sur l’autre, de février 2024 à février 2025.
Pendant ce temps, les mises en chantier ont chuté dans nos plus grandes villes en février, avec une baisse de 48 % à Vancouver et une baisse étonnante de 68 % à Toronto par rapport à février 2024. Cela rendra ces villes déjà inabordables encore plus chères. En conséquence directe de l’échec des libéraux à construire des logements, les prix de référence des logements ont augmenté en février pour atteindre 1 188 400 $ à Vancouver et 1 063 300 $ à Toronto.
Il n’y a pas que nos plus grandes villes, car Kelowna, London et Halifax ont vu les mises en chantier s’effondrer respectivement de 67 %, 58 % et 50 %. En Nouvelle-Écosse, les mises en chantier ont diminué de 42 %, tandis que l’Ontario a connu une baisse de 36 % et la Colombie-Britannique de 34 %.
Dans l’ensemble, l’année a mal commencé, le Canada ayant commencé à construire 6 % de logements en moins en janvier et février qu’en 2024. Les baisses les plus importantes ont été observées à Saint John, Trois-Rivières et London, avec respectivement 85 %, 66 % et 64 % de logements en moins.
Windsor a vu ses mises en chantier chuter de 57 %, tandis que Toronto a également connu une baisse de 56 %. Dans l’Ouest canadien, les mises en chantier à Victoria ont chuté de 46 %, celles à Vancouver de 18 % et celles à Saskatoon de 15 %.
Après une décennie de gouvernement Carney-Trudeau, le logement n’a jamais été aussi cher. Réélire ce gouvernement libéral pour un quatrième mandat n’apportera aucun changement. Seuls les conservateurs de gros bon sens construiront des logements en éliminant les barrières bureaucratiques, en abolissant les taxes de vente sur les logements neufs et en conditionnant le financement fédéral des infrastructures à la construction de logements.