Ottawa (Ontario) — Après huit ans sous Justin Trudeau, son gouvernement libéral ne parvient toujours pas à bâtir des logements dont les Canadiens ont besoin. Aujourd’hui, Statistique Canada a rapporté que les investissements dans le logement ont chuté de 17,9 % en décembre, et les chiffres sont encore pires pour les logements collectifs dont le Canada a désespérément besoin pour sortir de la crise du logement.

Il s’agit du niveau mensuel le plus bas depuis octobre 2020 — lorsque la construction de logements avait été paralysée par la pandémie. En conséquence directe de l’inaction des libéraux, la moyenne des loyers demandés pour l’ensemble des biens résidentiels au Canada a atteint le niveau record de 2 178 $ en décembre 2023. Justin Trudeau n’en vaut tout simplement pas le coût.

Cet effondrement a été particulièrement prononcé pour les investissements dans les logements collectifs, qui ont chuté de 31 %. En Ontario, les permis de bâtir des logements collectifs ont chuté de 45,2 %. Ces logements sont essentiels pour résoudre l’enfer du logement que subissent actuellement les Canadiens.

La nouvelle d’aujourd’hui se termine par une chute de 9,7 % de l’investissement annuel total dans le logement en 2023. Trudeau n’a pas réussi à écarter les barrières bureaucratiques qui empêchent la construction d’un nombre suffisant de logements pour les Canadiens qui luttent pour trouver un endroit où vivre.

Toutefois, cette chute massive de l’investissement en construction en décembre a coïncidé avec un essor des annonces et des séances de photos des libéraux sur le logement. Trudeau continue de donner des centaines de millions de votre argent durement gagné aux barrières bureaucratiques qui empêchent la construction de logements par des tracasseries administratives et des retards. Ce gouvernement libéral ne comprend pas que les Canadiens ne sont pas servis par des séances de photos.

Seuls les conservateurs de gros bon sens ont un plan pour construire plus de logements au lieu de renforcer la bureaucratie et proposer des logements que les Canadiens peuvent réellement s’offrir.