Ottawa (Ontario) — Hier, le chef conservateur Pierre Poilievre s’est engagé à transformer la souffrance en espoir pour les plus vulnérables en finançant le traitement de 50 000 Canadiens dans des centres de traitement ayant fait leurs preuves en matière de désintoxication. Tout en développant le traitement de la toxicomanie, il mettra fin au financement fédéral des opioïdes, coupera le financement des repaires de drogue fédéraux et veillera à ce que les sites restants ne soient pas exploités à au moins 500 mètres des écoles, des garderies, des terrains de jeux, des parcs et des maisons de retraite, grâce à de nouvelles règles de surveillances strictes. 

Dès son annonce, son plan pour mettre l’accent sur le traitement et transformer la souffrance en espoir a reçu un immense soutien. Veuillez noter que les messages ont été traduits : 

« Il s’agit d’une mesure positive, bien qu’évidente, qui doit être prise maintenant et qui ne doit pas être perçue sous un angle partisan ou controversé. Nous devons également réfléchir à la manière dont nous plaçons les gens dans ces lits en premier lieu, car il y a souvent très peu d’incitation à suivre un traitement ».

Kevin Sabet, ancien conseiller principal au Bureau de la politique nationale de lutte contre la drogue du président Barack Obama 

« Les Canadiens ont besoin d’urgence d’un gouvernement qui affirme notre capacité à prévenir et à vaincre les dépendances ».

Julian M. Somers, professeur distingué de sciences de la santé à l’université Simon Fraser

« C’est énorme. Après dix ans de politiques libérales qui ont produit des dommages, nous avons l’occasion d’élire un gouvernement fédéral qui se concentre sur le traitement et le rétablissement ».

Dan Williams, ministre de la Santé mentale et des Dépendances de l’Alberta

« C’est une bonne politique. L’essentiel est de veiller à ce que ces investissements soient réalisés dans des programmes de traitement basés sur des données concrètes et prouvées, mais le Canada souffre d’une pénurie de places de rétablissement accessibles, et cette mesure y aidera ».

Michael Gendron, Association canadienne des policiers et policières 

« Une politique positive, constructive, de gros bon sens et bien expliquée ».

Chris Day, président d’Opération rentrer au foyer d’Ottawa