Les conservateurs ramèneront les emplois dans le secteur minier au Canada et protégeront les entreprises canadiennes vitales contre les prises de contrôle hostiles de l’étranger.   

Cranbrook (Colombie-Britannique) — Après huit ans sous Justin Trudeau, les libéraux n’ont pas compris l’importance de maintenir des emplois canadiens solides au Canada. La prise de contrôle hostile de 23 milliards de dollars (USD) de Teck Resources proposée par Glencore serait dévastatrice pour les communautés de Colombie-Britannique comme Sparwood et Elkford, et pour les Canadiens de tout le pays. Des milliers d’emplois canadiens seraient menacés, nos chaînes d’approvisionnement locales seraient menacées et l’engagement de Teck à produire du charbon sidérurgique et du zinc dans le respect de l’environnement serait perdu. Si l’acquisition de Glencore aboutit, le Canada perdra la dernière grande société minière détenue et basée au Canada, et des dizaines de milliers de Canadiens seront touchés. 

« Un gouvernement Poilievre ramènerait les emplois canadiens en utilisant la Loi sur Investissement Canada pour stopper cette prise de contrôle étrangère hostile, et prendrait en compte le comportement contraire à l’éthique de Glencore », a déclaré Pierre Poilievre, chef de l’Opposition officielle et du Parti conservateur. « Un gouvernement conservateur sérieux qui se concentre sur la création d’emplois, la protection de notre chaîne d’approvisionnement et le soutien aux entreprises respectueuses de l’environnement fera clairement savoir que des actions comme celles de Glencore sont inacceptables. » 

 « Des milliers d’emplois canadiens dépendent de la survie de Teck Resources en tant qu’entreprise détenue et exploitée par des Canadiens », a déclaré Rick Perkins, ministre du Cabinet fantôme responsable de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie. « Les conservateurs maintiendront au Canada des emplois miniers solides, plutôt que de permettre à une entreprise dont l’éthique est compromise d’exporter ces emplois à l’étranger. »   

Glencore s’est vu infliger des amendes pour ses pratiques d’exploitation minière qui consistent à épuiser les actifs miniers tout en évitant les exigences en matière de nettoyage de l’environnement. En 2022, le Royaume-Uni a infligé à Glencore une amende de 350 millions de dollars (USD) pour avoir corrompu des fonctionnaires africains et, en 2018, la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario a infligé à sa filiale canadienne une amende de plus de 20 millions de dollars (USD) pour avoir trompé des investisseurs. De même, Glencore n’effectue pratiquement aucune exploration minière, ce qui crée une impasse pour le secteur des ressources du Canada. Un gouvernement Poilievre veillera à ce que les entreprises étrangères qui se livrent à des formes ignobles de corruption ne se voient pas confier le contrôle de l’une des industries les plus importantes du Canada. 

« Ma communauté dépend des emplois et des avantages économiques que Teck Resources apporte à Kootenay-Columbia. La prise de contrôle hostile de Glencore menacera les moyens de subsistance de milliers de mes électeurs et portera atteinte à notre réputation d’extraction responsable et durable des ressources », a déclaré Rob Morrison, député de Kootenay-Columbia. « Le gouvernement Trudeau doit mettre fin à cette acquisition forcée. » 

« Le Canada a besoin d’un gouvernement qui s’engage à créer et à soutenir les emplois canadiens », a déclaré Poilievre. « La tentative de prise de contrôle hostile de Glencore expédiera des milliers d’emplois à l’étranger et menacera des milliers d’autres Canadiens qui travaillent pour Teck en Colombie-Britannique. Un gouvernement Poilievre protégera les emplois canadiens contre les prises de contrôle étrangères hostiles et ramènera des chèques de paie puissants pour les travailleurs canadiens. »