Calgary (Alberta) – L’honorable Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada et de l’Opposition officielle, a averti que le dernier budget libéral, qualifié de « carte de crédit coûteuse », fait peser les dépenses irresponsables d’aujourd’hui sur les contribuables de demain, doublant les déficits, faisant grimper les prix et laissant les familles avec une facture inabordable pour leur épicerie, leur logement et leur essence.
« Il s’agit du budget coûteux de Mark Carney qu’il utilise comme une carte de crédit. Ce dernier plafonne les finances du pays et envoie la facture aux Canadiens sous forme de prix plus élevés, d’intérêts plus élevés et d’impôts plus élevés », a déclaré Pierre Poilievre. « Plus les libéraux dépensent, plus les choses coûtent cher pour vous et votre famille. »
Le premier ministre avait promis de « dépenser moins », de conclure un accord avec les États-Unis d’ici juillet et de stimuler les investissements et la construction de logements. Au lieu de cela, le déficit a doublé, il n’y a toujours pas d’accord avec les États-Unis, les investissements sont en baisse et l’agence gouvernementale chargée du logement prévoit désormais un recul de la construction.
Les résultats d’une décennie de politiques libérales irresponsables sont là. Le Canada compte la première génération de l’histoire à devoir renoncer à l’accession à la propriété, les coûts de logement les plus élevés du G7 et un recours aux banques alimentaires qui a plus que doublé pour atteindre près de 2,2 millions de visites par mois.
Lorsque les libéraux accumulent des déficits massifs, ce sont les Canadiens qui en paient le prix. Les taxes libérales cachées s’accumulent : les taxes carbone sur les engrais et les carburants, les règles d’emballage qui entraînent une hausse des aliments périmés et des factures d’épicerie, et les normes sur les carburants qui augmentent les coûts de transport routier. Les familles en ressentent les effets à la caisse et à la pompe, tandis que les petites entreprises voient leurs marges de profit diminuer.
En matière de logement, la réponse des libéraux consiste à alourdir encore davantage la bureaucratie. Une grande partie du prix d’une maison neuve est maintenant constituée de taxes, de frais, de délais et de consultants. Au lieu de s’attaquer de front à ces problèmes, le budget va dans la direction opposée et revient complètement sur la promesse faite par les libéraux lors des dernières élections de réduire de moitié les frais de développement.
Le budget de Mark Carney est sa promesse brisée la plus coûteuse : les nouvelles dépenses dépassent les économies déclarées, avec environ un tiers de billion de dollars de nouvelle dette sur cinq ans. « Le gouvernement n’a pas d’argent à lui », a déclaré Pierre Poilievre. « Il ne peut payer qu’avec les impôts, la dette ou l’inflation. Dans tous les cas, ce sont les Canadiens qui paient la facture. »
Pierre Poilievre a réitéré son objectif de rétablir la promesse du Canada : un pays où le travail acharné permet d’avoir une maison avec un terrain, de la viande et des pommes de terre sur la table et des rues sécuritaires sous un drapeau fier.
« Vous n’avez pas à vivre comme ça. Nous allons rendre la vie à nouveau abordable en mettant fin aux déficits qui alimentent l’inflation, en réduisant les impôts et les retards qui bloquent les logements et les salaires, et en libérant les ressources et les bâtisseurs de ce pays », a déclaré Pierre Poilievre. « Le Canada a la population, l’énergie et les possibilités nécessaires pour être le pays le plus riche du monde, à condition que le gouvernement se retire du chemin. »