Ottawa (Ontario) — Après neuf ans, le gouvernement NPD-Libéral, avec l’aide du Bloc, a créé la misère économique. Pendant tout ce temps, Chrystia Freeland a été le bras droit de Justin Trudeau, soutenant son plan visant à quadrupler la taxe carbone à la pompe pour la porter à 61 cents le litre d’ici 2030.
Trudeau l’a confirmé lors de sa démission, en déclarant : « Chrystia a été depuis presque 10 ans maintenant à mes côtés en tant que partenaire politique essentielle dans presque tout ce que nous avons réussi en tant que gouvernement et en tant que parti. »
Mais alors que Freeland tente aujourd’hui de fuir ses politiques désastreuses, son bilan parle de lui-même. Chrystia Freeland a voté au moins 43 fois en faveur de la taxe carbone. En tant que ministre des Finances, Chrystia Freeland a supervisé une augmentation de 167 % de la taxe carbone des libéraux.
Voici quelques exemples parmi tant d’autres, Freeland désignant bien sûr leur taxe carbone par l’euphémisme Trudeau-esque de « prix sur la pollution » :
• « Je suis absolument convaincue qu’un prix sur la pollution est la bonne chose à faire pour le Canada et pour notre économie. » (LIEN)
• « Notre parti est le seul grand parti qui continue à défendre l’idée d’un prix sur la pollution, le moyen le plus rationnel sur le plan économique de lutter contre le changement climatique. (LIEN)
• « Personnellement, je vis dans le centre de Toronto, notre famille n’a pas de voiture… Le prix sur la pollution est en fait utile aux habitants de Toronto à travers le pays……. Vous savez, le prix sur la pollution n’ajoute vraiment pas aux défis auxquels les ménages sont confrontés en ce moment. » (LIEN)
• « De nombreuses entreprises investissent au Canada en raison de notre prix sur la pollution. » (LIEN)
• « Le Canada est un leader mondial en matière de prix sur la pollution. En fait, alors que de nombreux pays dans le monde cherchent à augmenter leur niveau d’ambition, ils s’inspirent de notre plan. » (LIEN)
• « Le prix sur la pollution est très important… » (LIEN)
• « Ce budget comporte un certain nombre de mesures relatives à l’accessibilité financière, et le prix sur la pollution est, d’un point de vue économique, le moyen le plus efficace d’agir sur le changement climatique. » (LIEN)
Bien entendu, nous ne devrions pas être surpris par le plaidoyer continu de Chrystia Freeland en faveur des taxes carbone, étant donné que – de son propre aveu – elle a suivi les conseils du principal défenseur de la taxe carbone, Mark Carney, pendant des années :
• « Vraiment, Mark est un ami personnel de très longue date. »… « Dès que je suis devenue ministre, j’ai continué à parler à Mark, à bénéficier de ses conseils et à discuter d’idées avec lui. Nous avons eu une très bonne conversation cette fin de semaine et je me réjouis de continuer à travailler avec lui. » (LIEN)
• « La lutte contre le changement climatique nécessite une collaboration et un leadership au niveau international. Je ne vois pas de meilleure personne que Mark Carney pour le poste d’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique. Félicitations ! » (LIEN)
• « Mark Carney est quelqu’un à qui je parle souvent… C’est vraiment formidable pour notre équipe que Mark conseille le Parti libéral. » (LIEN)
Alors que le vandalisme économique de Freeland a poussé un demi-billion d’investissements du Canada vers les États-Unis, elle a soutenu la hausse des taxes sur les gains en capital qui tue l’emploi et qui devrait réduire le PIB de 90 milliards de dollars et l’emploi de 414 000 personnes. Et ce, alors que l’écart de PIB par habitant entre le Canada et les États-Unis est aujourd’hui de 33 000 dollars, alors qu’il était équivalent il y a dix ans.
Freeland est l’auteure de la fameuse mise à jour économique de l’automne qui a dépassé ses propres garde-fous fiscaux. Elle était tout à fait prête à présenter le déficit record de 62 milliards de dollars, jusqu’à ce qu’il soit révélé qu’elle allait être rétrogradée.
Après avoir accepté de doubler la dette, de doubler les coûts du logement et de quadrupler la taxe carbone, Freeland a soudainement changé d’avis. Mais nous savons que c’était uniquement à propos d’elle. Personne n’est dupe de la volte-face de Freeland sur les « astuces politiques coûteuses » qu’elle a volontiers défendues en tant que ministre des Finances. À maintes reprises, elle a soutenu Trudeau parce qu’elle est tout comme Trudeau.
Il est temps de déclencher des élections pour que les Canadiens puissent reprendre le contrôle de leur vie et de leur pays, et élire les conservateurs de gros bon sens qui couperont les taxes et les impôts, bâtiront les logements, répareront le budget et stopperont les crimes.
Pour plus d’informations sur Chrystia Freeland, Mark Carney et tous les autres libéraux qui sont tout comme Trudeau, rendez-vous sur www.toutcommetrudeau.ca.