Demande de Poilievre pour l’Énoncé économique de l’automne du gouvernement NPD-Libéral : ARRÊTEZ les hausses de taxes et d’impôts, la dette et l’inflation
Ottawa (Ontario) – Aujourd’hui, Pierre Poilievre a mis au défi le NPD-Libéral de déposer leur Énoncé économique de l’automne avec trois demandes de gros bon sens :
- Arrêtez toutes les hausses de taxes et d’impôts prévues, en particulier les hausses de la taxe carbone qui détruisent l’emploi.
- Arrêtez d’alimenter l’inflation, en réduisant les dépenses inflationnistes inutiles et en abolissant la taxe de vente sur les logements afin d’économiser jusqu’à 50 000 dollars pour les acheteurs et d’augmenter le nombre de maisons et d’appartements de 30 000 par an.
- Arrêtez d’alourdir la dette, en commençant par confirmer que le déficit de cette année et de l’année dernière n’a pas dépassé la limite de 40 milliards de dollars que la ministre des Finances Chrystia Freeland a promis dans le budget de cette année. Le gouvernement doit également inclure une loi « dollar pour dollar » qui exige que toutes les nouvelles dépenses soient compensées par un montant égal d’économies. Par exemple, le gouvernement devrait éliminer le Fonds pour accélérer la construction de logements discrédité pour payer la suppression de la TPS sur les logements, et le renforcement des frontières devrait être payé par l’annulation des milliards que le gouvernement gaspille pour les chèques à 250 dollars et le tour de passe-passe sur la TPS de deux mois.
Au printemps, Trudeau augmentera à nouveau la taxe carbone de près de 19 % dans le cadre de son plan visant à la quadrupler pour la porter à 61 cents le litre au cours des cinq prochaines années. Le directeur parlementaire du budget a confirmé que les taxes sur le carbone supprimeront 40 milliards de dollars de notre PIB et qu’une majorité des Canadiens paieront plus qu’ils ne recevront en remboursement. De plus, le Règlement sur les combustibles propres s’applique au Québec et va ajouter 17 ¢ le litre d’ici 2030 sur le dos des Québécois.
Depuis l’entrée en vigueur de la taxe carbone, les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 37 % plus vite au Canada qu’aux États-Unis. En mars 2024, plus de 2 millions de personnes se sont rendues dans une banque alimentaire, et aujourd’hui, plus d’un million d’Ontariens doivent se tourner vers une banque alimentaire pour survivre.
Trudeau augmente également la taxe sur les gains en capital, ce qui aura pour effet d’accroître le nombre d’emplois et d’investissements vers le sud. Un demi-billion de dollars d’investissement ont déjà quitté le Canada pour les États-Unis sous Justin Trudeau. Selon l’économiste Jack Mintz, cette hausse de taxe réduira le PIB du Canada de 90 milliards de dollars, le PIB réel par habitant de 3 % et le nombre d’emplois de 414 000.
Trudeau a dépensé tellement d’argent que, même avec ses augmentations de taxes, il a ajouté plus à la dette inflationniste que tous les autres premiers ministres du Canada réunis. Ces dépenses inutiles ont fait grimper le coût de tout. Même des libéraux comme John Manley et Bill Morneau en conviennent.
Le coût du logement a doublé après 9 ans sous Trudeau, augmentant plus rapidement que dans n’importe quel autre pays du G7. En octobre 2015, il ne fallait que 39 % du revenu médian avant impôt des ménages pour couvrir les coûts d’accession à la propriété. Aujourd’hui, il en faut près de 60 %. En Ontario et en Colombie-Britannique, les frais gouvernementaux représentent plus de 30 % du coût d’une nouvelle maison. Abolissez la taxe de vente sur les logements neufs de moins d’un million de dollars afin de réduire l’inflation dans le secteur du logement et de stimuler la construction de logements.
Pour maîtriser les dépenses et cesser d’ajouter à la dette inflationniste, Trudeau doit mettre en place une loi « dollar pour dollar » qui exige une économie équivalente pour toute nouvelle dépense. Les libéraux ont promis de plafonner le déficit à 40 milliards de dollars, mais le DPB prévoit maintenant que le déficit fédéral en 2024/2025 sera de 46,4 milliards de dollars, dépassant ainsi leurs propres garde-fous fiscaux.
Seul Pierre Poilievre coupera les taxes et les impôts, bâtira des logements, réparera le budget et stoppera les crimes. Mais en attendant que les Canadiens puissent voter lors des élections, les libéraux doivent arrêter les hausses de taxes et d’impôts, arrêter d’alimenter l’inflation et arrêter d’alourdir la dette.