Ottawa (Ontario) –Pendant la décennie perdue des libéraux, le coût du logement a doublé, augmentant plus rapidement au Canada que dans n’importe quel autre pays du G7. Lorsque Pierre Poilievre était ministre du Logement, 39 % du revenu médian des ménages étaient consacrés aux frais de logement. Maintenant, ce pourcentage atteint 60 %. Les conservateurs rétabliront la promesse de l’accession à la propriété en bâtissant davantage, en taxant moins et en retirant le gouvernement du chemin. 

Nous commencerons par éliminer les barrières bureaucratiques qui bloquent la construction de logements au lieu de les renforcer avec des primes massives. Un gouvernement conservateur exigera des villes qu’elles libèrent des terrains, qu’elles accélèrent les permis et qu’elles réduisent les redevances d’aménagement afin de bâtir 15 % de logements supplémentaires chaque année. Si elles ne parviennent pas à atteindre leur objectif, elles se verront retirer leur financement fédéral, à hauteur de l’écart constaté.

À l’avenir, cet objectif s’ajoutera à l’objectif de 15 % de l’année précédente. Les villes qui n’atteindront pas leurs objectifs devront bâtir encore plus de logements l’année suivante, tandis que celles qui réussiront à en bâtir seront récompensées par une prime basée sur le dépassement de l’objectif fixé. Les municipalités seront également tenues de pré-approuver les permis de construire pour les logements à haute densité situés à proximité des stations de transport en commun, et ne recevront pas de financement fédéral pour le transport en commun tant qu’il n’y aura pas de clés dans les portes. 

Les conservateurs fourniront encore plus de terrains pour construire en vendant 15 % des 37 000 immeubles du gouvernement fédéral et en exigeant que ces immeubles soient transformés en logements abordables. Nous mettrons également fin aux retards du gouvernement fédéral en réduisant les primes, les salaires et, au besoin, en congédiant les barrières bureaucratiques de la Société canadienne d’hypothèques et de logement s’ils n’approuvent pas les demandes de logement dans un délai de 60 jours ou moins.

Nous rendrons les logements plus abordables en éliminant la TPS fédérale sur les logements neufs jusqu’à 1,3 million de dollars. Cette mesure permettrait aux acheteurs d’économiser jusqu’à 65 000 dollars, soit environ 3 000 dollars par an en paiements hypothécaires, pour l’achat d’un logement moyen dans nos grandes villes. Il permettra également la création de 36 000 logements supplémentaires par an et, combiné à l’annonce d’aujourd’hui incitant les municipalités à réduire les taxes d’aménagement, permettra d’économiser 100 000 dollars sur un logement moyen dans nos grandes villes.

Les Canadiens ne peuvent pas se permettre un quatrième mandat libéral avec des coûts et une criminalité en hausse et notre économie sous l’emprise des États-Unis. Nous avons besoin d’un nouveau gouvernement conservateur qui coupera les taxes et les impôts et bâtira des logements pour mettre le Canada d’abord, pour faire changement.