La même équipe libérale, les mêmes promesses brisées 

Ottawa (Ontario) – Vancouver est le troisième marché du logement le plus inabordable au monde, après Hong Kong et Sydney. La plupart des jeunes Britanno-Colombiens et des nouveaux immigrants ont abandonné le rêve d’accéder à la propriété. La solution de Mark Carney ? Recruter les incendiaires qui ont allumé le feu.

Au cours de la dernière décennie, les libéraux ont doublé les loyers, doublé la mise de fonds nécessaire, doublé les paiements hypothécaires. Aujourd’hui, ils réitèrent leur confiance à la même équipe libérale qui a échoué et aux mêmes promesses libérales qui ont été brisées.

Mark Wiens – Vancouver-Est 

Alors que le marché immobilier de Vancouver était considéré comme inabordable, le candidat libéral Mark Wiens, agent immobilier de luxe à Vancouver-Est, s’est vanté de commercialiser des logements auprès de riches acheteurs étrangers afin de gonfler les prix. « En tant qu’agent immobilier caucasien, parlant chinois et né à Vancouver, je serai en mesure de vendre votre maison de manière unique à un public de 5 000 acheteurs de luxe VIP en Chine, sur invitation seulement », a-t-il déclaré. 

Gregor Robertson – Vancouver Fraserview- Burnaby Sud 

Gregor Robertson, le candidat vedette de Carney, ancien maire raté de Vancouver, a vu le prix des logements augmenter de 149 % et a augmenté les taxes d’habitation de 141 % en seulement dix ans. En décembre 2008, le premier mois où Gregor Robertson a été maire, le prix moyen d’un logement à Vancouver était de 477 500 dollars. À son départ, ce même logement coûtait près de 1,2 million de dollars.

Taleeb Noormohamed – Vancouver-Granville 

Taleeb Noormohamed, spéculateur immobilier local et candidat libéral de Vancouver-Granville, a revendu 41 logements, empochant 4,9 millions de dollars grâce à son activité secondaire préférée – faisant ainsi grimper les prix des logements. Lorsqu’il a été confronté à son hypocrisie, il a courageusement rejeté la faute sur ses parents

Le bilan des échecs des libéraux est évident. Au cours de la dernière décennie : 

  • Les prix des logements sont passés de 448 000 dollars à plus de 720 500 dollars.
  • Les loyers demandés ont doublé, passant de 973 dollars à 1 852 dollars pour un appartement d’une chambre.
  • Les paiements hypothécaires ont doublé, passant de 1 400 dollars  à 2 800 dollars.
  • Près de 60 % du revenu médian avant impôt des ménages est désormais consacré au logement.
  • Il faut 25 ans pour économiser en vue d’une mise de fonds dans les plus grandes villes du Canada.
  • 8 Canadiens sur 10 pensent que l’accession à la propriété est seulement accessible aux riches.

Le plan de logement de Carney n’est que la stratégie ratée de Justin Trudeau avec un nouveau slogan. 

Plus de programmes gouvernementaux. Plus de barrières bureaucratiques. Plus de promesses brisées. Nous ne pouvons pas nous permettre un quatrième mandat libéral. Il est temps d’avoir un nouveau gouvernement conservateur qui bâtira des logements abordables – Pour faire changement.