Un nouveau gouvernement conservateur investira dans le rétablissement, mettra fin au financement fédéral pour les opioïdes et coupera le financement des repaires de drogue, pour que nous puissions ramener nos proches à la maison, libérés de l’emprise de la drogue.

Vancouver (Colombie-Britannique) – Le chef conservateur Pierre Poilievre s’est engagé aujourd’hui à ramener l’espoir dont les Canadiens vulnérables ont besoin en élargissant les programmes de rétablissement de la dépendance aux drogues, créant ainsi 50 000 nouvelles possibilités pour les Canadiens qui cherchent à se libérer de leur dépendance. En même temps, il mettra fin au financement fédéral des opioïdes, coupera le financement des repaires de drogue fédéraux et veillera à ce que les sites restants ne soient pas exploités à moins de 500 mètres des écoles, des garderies, des terrains de jeux, des parcs et des maisons de retraite, et à ce qu’ils respectent de nouvelles règles de surveillance strictes axées sur les voies d’accès au traitement.

Plus de 50 000 personnes ont perdu la vie à cause du fentanyl depuis 2015, soit plus de Canadiens que lors de la Seconde Guerre mondiale. Poilievre s’est engagé à ouvrir une voie vers le rétablissement tout en s’attaquant à l’expérience libérale de libre accès aux drogues illégales qui a aggravé la crise et semé le désordre dans les communautés locales. 

Plus précisément, Poilievre s’engage à :

  1. Financer le traitement de 50 000 Canadiens. Un nouveau gouvernement conservateur financera le traitement de 50 000 Canadiens dans des centres de traitement ayant fait leurs preuves pour ce qui est de faire décrocher les gens de la drogue. Cela inclut des modèles efficaces comme le Centre de rétablissement Bruce Oake, qui aide les gens à se rétablir et à retrouver leur famille, leur communauté et leur culture. Pour garantir les meilleurs résultats, le financement suivra les résultats. Là où il existe des places dans de bons programmes de traitement, nous les utiliserons, et là où ils doivent être étendus, ces fonds le permettront.
  2. Interdire les repaires de drogue à moins de 500 mètres des écoles, des garderies, des terrains de jeux, des parcs et des maisons de retraite, et imposer de nouvelles règles strictes d’encadrement. Poilievre s’est également engagé à sévir contre les expériences inconsidérées des libéraux en matière de libre accès aux drogues illégales, qui permettent aux provinces d’exploiter des sites de consommation de drogue sans aucun contrôle, tout en suspendant toute nouvelle exemption fédérale jusqu’à ce qu’il soit prouvé qu’elle favorise le rétablissement. Les sites fédéraux existants seront tenus d’opérer loin des communautés résidentielles et des lieux fréquentés par les familles et les enfants et devront désormais également s’efforcer de mettre les utilisateurs en contact avec les traitements, respecter des normes réglementaires plus strictes ou fermer. Il mettra également fin à l’exemption accordée aux sites réglementés par les provinces qui ne respectent pas les règles. 

​​« Après la décennie perdue des libéraux, la crise de la dépendance au Canada est devenue incontrôlable », a déclaré Poilievre. ​​« Des familles ont été déchirées tandis que des enfants sont témoins de la consommation ouverte de drogues et traversent des campements dangereux pour se rendre à l’école. Les Canadiens méritent mieux que le cycle libéral sans fin de la criminalité, du désespoir et de la mort. »

Depuis que les libéraux ont été élus pour la première fois en 2015, nos communautés autrefois sécuritaires sont devenues désordonnées, tandis que de plus en plus de Canadiens tombent dans les drogues dangereuses que les libéraux ont déversées dans nos rues. En Colombie-Britannique, où les libéraux ont décriminalisé les drogues dangereuses comme le fentanyl et la méthamphétamine, les décès par surdose ont augmenté de 200 %. 

Les libéraux ont également mené une expérience radicale concernant les drogues dures financées par les contribuables, qui sont souvent détournées et revendues à des enfants et à d’autres Canadiens vulnérables. Le service de police de Vancouver a déclaré qu’environ la moitié de toutes les saisies d’hydromorphone étaient détournées de ce programme de drogues dures, tandis que le service de police régional de Waterloo et le service de police régional de Niagara ont déclaré que les saisies d’hydromorphone avaient explosé de 1 090 % et de 1 577 %, respectivement.

Malgré la mort et le désordre qui est maintenant un chose normale dans nos rues, Mark Carney a déclaré dans une salle remplie de supporters libéraux que 50 000 morts dû au fentanyl au Canada n’est pas une « crise ». Il a également choisi un candidat libéral qui a déclaré que les libéraux « seraient intelligents de se pencher sur la décriminalisation des drogues » et un autre qui a déclaré que « la légalisation de toutes les drogues serait une bonne chose pour le Canada ». 

Le candidat vedette de Mark Carney, Gregor Robertson, défenseur de la décriminalisation et de l’approvisionnement sûr, a voulu que des repaires de drogue soient établis dans les communautés sans aucune consultation ni considération de sécurité publique. Pendant son mandat désastreux en tant que maire de Vancouver, les surdoses ont augmenté de 600 %.

L’Alberta a été la province pionnière d’une approche qui offre un réel espoir en adoptant un modèle de soins axé sur le rétablissement, ce qui a permis de réduire de près de 40 % les décès par surdose depuis 2023, soit trois fois plus que la baisse observée en Colombie-Britannique. Cependant, nous devons également mettre fin aux politiques libérales en matière de drogues qui ont aggravé la crise et nui à d’innombrables vies et familles.

Pour financer cette politique, un gouvernement conservateur mettra fin au financement fédéral des opioïdes, coupera le financement des repaires de drogue fédéraux et poursuivra les fabricants d’opioïdes et les sociétés de conseil qui ont créé cette crise en premier lieu.

« Les Canadiens méritent mieux que le cycle libéral de la criminalité, du désespoir et de la mort », a déclaré Poilievre. « Nous traiterons la dépendance avec compassion et responsabilité, et non avec plus de poison financé par les contribuables. Nous transformerons le mal en espoir en fermant les repaires de drogue, en rétablissant l’ordre dans nos communautés, en finançant un véritable rétablissement et ramenant nos proches à la maison, libérés de l’emprise de la drogue. »