Poilievre va éliminer la TPS sur tous les logements neufs de moins de 1,3 million de dollars, ce qui permettra aux acheteurs d’économiser jusqu’à 65 000 dollars sur l’achat d’un logement moyen dans nos grandes villes et de stimuler la construction de 36 000 nouveaux logements chaque année.
Vaughan (Ontario) – Le chef conservateur Pierre Poilievre a annoncé aujourd’hui qu’il éliminerait la taxe de vente fédérale (TPS) sur les logements neufs d’une valeur maximale de 1,3 million de dollars. Cette baisse d’impôt redonnera espoir aux nouveaux acheteurs de logements après que l’inflation libérale a fait grimper le prix de référence des logements à Vancouver et à Toronto à plus d’un million de dollars.
« Le choix qui s’offre aux Canadiens : les libéraux de Carney méritent-ils un quatrième mandat après avoir doublé le coût des logements et affaibli le Canada, ou est-il temps d’élire un nouveau gouvernement conservateur qui bâtira des logements et mettra le Canada d’abord pour faire changement ? », a déclaré Poilievre. « Avec mon plan, un jeune couple de Surrey, une mère célibataire d’Oshawa et un ouvrier de Regina pourront tous accéder à la propriété, comme leurs parents l’ont fait avant eux. »
L’élimination de la TPS permettra aux acheteurs d’économiser jusqu’à 65 000 dollars sur l’achat d’un logement moyen dans nos grandes villes, soit environ 3 000 dollars de moins par an sur leur prêt hypothécaire. Il permettra également d’augmenter le nombre de nouveaux logements construits chaque année, ce qui entraînera l’ajout de 36 000 logements supplémentaires par an et générera des revenus pour les travailleurs et les entreprises du secteur de la construction. Cela permettra également de collecter 2,52 milliards de dollars supplémentaires de recettes fiscales sur les revenus de ces travailleurs et constructeurs de logements.
Un gouvernement Poilievre financerait cette réduction d’impôt pour les acheteurs de logements en éliminant 8 milliards de dollars des programmes de logement bureaucratiques des libéraux qui n’ont fait qu’augmenter les prix des logements. Les conservateurs inciteront également les municipalités à libérer des terrains, à accélérer les demandes de permis et à réduire les frais d’aménagement afin de construire 15 % de logements supplémentaires chaque année.
Après la décennie perdue des libéraux, le rêve d’un logement décent dans une rue sécuritaire au sein d’une belle communauté s’est envolé. Les coûts du logement ont doublé, augmentant plus rapidement au Canada que dans tout autre pays du G7. Il fallait auparavant 25 ans pour rembourser un prêt hypothécaire, maintenant il faut 25 ans juste pour économiser le montant de la mise de fonds nécessaire à l’achat d’un logement.
Lorsque Poilievre était ministre du Logement, 39 % du revenu médian des ménages permettait de couvrir le coût de l’accession à la propriété. Mais avec les conseils de Carney et le leadership de Trudeau, le ménage médian doit désormais dépenser jusqu’à 60 % de ses revenus. À Vancouver, il faut maintenant gagner 243 300 dollars pour pouvoir obtenir un prêt hypothécaire sur un logement moyen, tandis qu’à Toronto, ce chiffre s’élève à près de 223 290 dollars. Et cela s’ajoute à l’épargne nécessaire pour la mise de fonds elle-même.
Pendant ce temps, les libéraux ont donné des milliards de dollars aux gouvernements locaux qui ajoutent de la bureaucratie, pas des logements. Les frais imposés par les gouvernements locaux font que le Canada a le moins de logements par habitant, même si nous avons le plus de terrains pour bâtir. En Ontario et en Colombie-Britannique, par exemple, les frais gouvernementaux représentent près du tiers du prix d’un logement neuf.
L’un des coûts gouvernementaux les plus importants est la TPS fédérale, qui ajoute 50 000 dollars aux coûts d’un logement d’un million de dollars. Carney et Trudeau n’ont fait qu’empirer les choses, en faisant passer le prix de référence à Vancouver à 1,195 million de dollars et à Toronto à 1,089 million de dollars. Il existe maintenant de nombreux endroits au Canada où un million de dollars ne suffit pas pour acheter un logement moyen.
« Personne ne peut se permettre cette situation », a déclaré Poilievre. « Mark Carney est déconnecté et ne comprend pas que les Canadiens sont contraints de quitter les villes dans lesquelles ils ont grandi. Cela prendra fin lorsque nous élirons un gouvernement conservateur. »
Seuls les conservateurs cesseront de punir le rêve de l’accession à la propriété et rétablir la promesse du Canada en bâtissant plus, en taxant moins et en retirant le gouvernement du chemin.