Poilievre donnera le feu vert à tous les permis fédéraux pour le Cercle de feu dans les six mois, s’engagera à verser 1 milliard de dollars pour construire une nouvelle route, débloquant ainsi des milliards de dollars de ressources et reprenant le contrôle de notre économie des mains des Américains.

Sudbury (Ontario) – Le chef du Parti conservateur, Pierre Poilievre, a déclaré aujourd’hui que son gouvernement conservateur de gros bon sens se fixera pour objectif de donner le feu vert à tous les permis fédéraux pour l’exploitation du Cercle de feu dans le nord de l’Ontario dans les six mois afin d’extraire la chromite, le cobalt, le nickel, le cuivre et le platine.

Poilievre s’engagera également à consacrer un milliard de dollars sur trois ans à la construction d’une route attendue depuis longtemps, reliant les communautés des Premières Nations et les gisements minéraux essentiels dans le Cercle de feu au réseau routier de l’Ontario, tout en permettant aux entreprises qui investissent dans le Cercle de feu de verser une partie de leurs impôts fédéraux aux Premières Nations de la région.

Situé à 500 kilomètres au nord de Thunder Bay, le Cercle de feu est l’une des plus grandes zones inexploitées de métaux de terres rares au monde, abritant des dizaines de milliards de dollars de richesses en ressources.

« Le Cercle de feu va changer la vie des villes du nord de l’Ontario et des communautés des Premières Nations, galvanisées par des milliers de chèques de paie et des infrastructures modernes », a déclaré Poilievre. « Nous pourrions stimuler notre économie avec des milliards de dollars, ce qui nous permettrait de devenir moins dépendants des États-Unis, tandis que nos alliés d’outre-mer n’auraient plus à compter sur Pékin pour ces métaux, transformant les dollars des dictateurs en chèques de paie pour notre peuple. »

Les libéraux de Carney-Trudeau connaissent le potentiel économique considérable du Cercle de feu depuis une décennie, mais n’ont approuvé aucune route ni permis de construction de mine. Les libéraux ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour garder ces minéraux sous terre en retardant l’octroi de permis pendant cinq années entières et en adoptant le projet de loi C-69, qui rend très difficile, voire impossible, l’approbation de projets d’exploitation de ressources comme ceux-ci.

« Cette bureaucratie et ces obstacles ont eu des effets dévastateurs sur le Canada avant que Donald Trump ne menace de taxer notre économie. Aujourd’hui, c’est un acte de suicide économique », a déclaré Poilievre. « En nous associant aux Premières Nations pour développer nos ressources de classe mondiale, nous ramènerons le gros bon sens pour tous les Canadiens. »

De plus, comme l’OTAN a identifié ces minéraux critiques comme étant essentiels à notre défense collective, les investissements du gouvernement conservateur dans la réalisation de ce projet de route permettront au Canada d’atteindre son objectif de 2 % du PIB consacré à la défense.

Seul un plan « le Canada d’abord » du gouvernement conservateur approuvera rapidement les permis pour le Cercle de feu et abrogera rapidement le projet de loi C-69, la loi anti-ressources que les libéraux ont toujours en place. Seul un gouvernement conservateur soutiendra les mines, les pipelines, les scieries, les usines de GNL, la construction de nouveaux ports et de meilleures opportunités d’exportation afin de diversifier nos économies et de nous rendre moins dépendants des États-Unis. C’est ce que signifie mettre « Le Canada d’abord ».