Ottawa (Ontario) – Bob Zimmer, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable des Affaires du Nord et de la Souveraineté de l’Arctique, de l’Agence canadienne de développement économique du Nord et député de Prince George-Peace River-Northern Rockies, a fait la déclaration suivante :
« Après neuf ans, Justin Trudeau et le NPD ont laissé tomber les travailleurs canadiens. C’est ce qui ressort clairement de l’annonce par Canfor Corp. de la fermeture de deux scieries dans le nord de la Colombie-Britannique, qui touchera 500 travailleurs. Ces pertes d’emploi seront dévastatrices pour les petites communautés de Vanderhoof et de Fort St. John.
« Cela s’est produit parce que Justin Trudeau n’est pas parvenu à un accord avec les Américains, ce qui a conduit les États-Unis à doubler les droits de douane sur le bois d’œuvre canadien. Au début du mois, les États-Unis ont augmenté les droits de douane sur le bois d’œuvre de 8,05 % à 14,45 %, mettant en péril des milliers d’emplois. En fait, lorsque Canfor a fait cette annonce, elle a clairement indiqué que ces tarifs douaniers nuisaient à la capacité de ses entreprises à poursuivre leurs opérations, affirmant que les augmentations de droits de douane “punitives” constituaient le coup de grâce. En outre, les politiques radicales du NPD ont dévasté le secteur forestier en Colombie-Britannique.
« Ce n’était pas le cas avant Justin Trudeau. Lorsque le premier ministre conservateur Stephen Harper a été élu pour la première fois, il a négocié un accord avec les Américains dans ses 80 premiers jours, ce qui s’est traduit par de plus gros chèques de paie et une économie prospère dans le nord de la Colombie-Britannique. Justin Trudeau a eu neuf ans et trois administrations présidentielles distinctes, mais il n’a pas réussi à conclure un accord qui sauverait les emplois canadiens. En fait, les droits de douane ne font qu’empirer.
« Trudeau n’aurait jamais dû permettre un délai de neuf ans pour l’accord sur le bois d’œuvre. Pendant cette période, les entreprises américaines ont reçu 8 milliards de dollars qui auraient dû aller aux travailleurs et aux entreprises du Canada.
« Les travailleurs canadiens méritent mieux. Seuls les conservateurs de gros bon sens concluront un accord pour les travailleurs forestiers du Canada et ramèneront de plus gros chèques de paie pour les travailleurs canadiens. »