Punir les fraudeurs fiscaux
Alors que les Canadiens ont du mal à joindre les deux bouts, Mark Carney a caché ses fonds de Brookfield au-dessus d’un magasin de vélos aux Bermudes, l’un des paradis fiscaux les plus notoires au monde. Selon KPMG, les Bermudes n’ont pas d’impôt sur les gains en capitaux, d’impôt sur les dividendes ou de retenue à la source, ce qui en fait l’un des paradis fiscaux les plus attrayants pour les riches du monde entier comme Mark Carney qui veulent éviter les impôts qu’ils nous imposent.
Alors que Mark Carney conseillait à Justin Trudeau d’augmenter les impôts des travailleurs canadiens, il s’assurait que les bénéfices de son entreprise restent à l’étranger, hors de portée de l’ARC. Il s’agissait de décisions calculées pour échapper aux impôts canadiens alors que le gouvernement Trudeau harcelait les petites entreprises et les familles de la classe moyenne pour financer ses dépenses qui montent en flèche.
Les conservateurs mettront fin au système fiscal à deux vitesses de Mark Carney, où les élites bénéficient d’échappatoires et les travailleurs sont audités.
- Mettre fin aux échappatoires fiscales de Mark Carney. Pierre Poilievre a déjà annoncé qu’il nommerait un groupe de travail sur la fiscalité pour rendre les règles fiscales plus équitables, plus simples et plus faciles à administrer. Ce même groupe de travail veillera également à ce que nous éliminions toutes les échappatoires qui permettent à des entreprises comme Brookfield de cacher leur argent dans des paradis fiscaux pour éviter de payer leur juste part ici au Canada.
- Rediriger les ressources de l’ARC pour qu’elles ne soient plus consacrées à la vérification et au harcèlement des propriétaires de petites entreprises et des organismes de bienfaisance, mais plutôt à la lutte contre les paradis fiscaux à l’étranger, en collectant au moins un milliard de dollars de plus chaque année auprès de ceux qui tentent de cacher leur richesse à l’étranger.
- Créer un site Internet exposer toutes les riches multinationales qui fraudent le système fiscal et refusent de payer leur juste part.
- Élargir le programme de dénonciation des paradis fiscaux, en offrant aux dénonciateurs jusqu’à 20 % des fonds récupérés lorsqu’ils contribuent à dénoncer des stratagèmes fiscaux frauduleux.