Poilievre réduira de 25 % la paperasse du gouvernement fédéral en deux ans, adoptera une loi exigeant que deux réglementations soient supprimées pour chaque nouvelle ajoutée et garantira 2 dollars d’économies de coûts administratifs pour chaque dollar ajouté.

Osoyoos (Colombie-Britannique) – Aujourd’hui, le chef conservateur Pierre Poilievre a annoncé son plan visant à éliminer 25% de toute la paperasse au cours des deux premières années de son mandat de premier ministre. Cela permettra d’alléger considérablement le fardeau administratif qui pèse sur les contribuables et les entreprises, et de relancer notre économie après la décennie perdue des libéraux. Poilievre introduira une loi « deux pour un » exigeant l’abrogation de deux réglementations pour chaque nouvelle réglementation imposée.

Poilievre exigera également que pour chaque dollar de nouveaux coûts administratifs, deux dollars soient supprimés ailleurs, afin d’alléger le fardeau gouvernemental qui rend plus difficile la compétitivité des entreprises canadiennes à l’échelle mondiale. Et pour s’assurer que les réductions se produisent, un nouveau gouvernement conservateur adoptera une loi exigeant que le vérificateur général les vérifie chaque année.

« Hier, nous avons appris que des pertes d’emplois massives avaient eu lieu en mars et que le libéral Mark Carney n’avait aucun plan pour y remédier. Alors que les emplois fuient les lourdes taxes libérales et la bureaucratie vers les États-Unis, il renforce les politiques qui ont causé le problème, s’engageant il y a quelques jours à maintenir la loi C-69 anti-pipeline et anti-développement. Cela donnera nos ressources et nos emplois aux États-Unis. Pas étonnant que Donald Trump ait soutenu Mark Carney. « La paperasse étouffe l’ambition, fait grimper les coûts et permet à Trump de nous surpasser plus facilement », a déclaré Poilievre. « Trump veut voler nos emplois. Carney l’aide à le faire. Je vais ramener le gros bon sens chez nous. »

Les exigences réglementaires fédérales imposées aux entreprises sont passées à plus de 149 000, soit près de 20 000 de plus depuis l’arrivée au pouvoir des libéraux. Le fardeau est stupéfiant : au total, la paperasse gouvernementale coûte aux entreprises au moins 51 milliards de dollars par an, sans compter les dommages causés par les réglementations qui bloquent la réalisation de projets majeurs tels que les pipelines, les mines et d’autres projets essentiels. Le résultat ? Le Canada a perdu 460 milliards de dollars d’investissements – de l’argent qui a fui vers les États-Unis et qui devrait créer des emplois et des chèques de paie ici, au Canada.

Alors que l’actuelle Loi sur la réduction de la paperasse applique la règle du un-pour-un, les libéraux ont détourné le système en réduisant le nombre de titres réglementaires et en bourrant les titres restants de nouvelles règles à n’en plus finir. C’est comme si vous brochiez tous vos livres ensemble et que vous disiez que vous avez réduit le nombre de livres que vous possédez à un seul.

« Après une décennie perdue des libéraux, le choix est le suivant : un quatrième mandat libéral marqué par une hausse des taxes et des impôts, le blocage des ressources naturelles et la fuite des emplois vers le sud, ce qui nous rend plus vulnérables face à Donald Trump, ou un véritable changement avec un nouveau gouvernement conservateur qui réduira la bureaucratie, libérera nos travailleurs et nos entreprises afin que nous puissions tenir tête à Trump en position de force », a déclaré Poilievre. « C’est ce que signifie mettre le Canada d’abord, pour faire changement. »