Ottawa (Ontario) – Après huit années sous Justin Trudeau, la vie au Canada est devenue inabordable. Les banques alimentaires ont reçu un nombre record de deux millions de visites en un seul mois l’année dernière, et un million de visites supplémentaires sont attendues en 2024.

Justin Trudeau a déclenché la misère économique dans tout le pays. Mais au lieu de soulager les Canadiens, il a décidé d’augmenter à nouveau la taxe carbone de 23 % le 1er avril. Ce n’est qu’une étape dans le plan de Justin Trudeau visant à rendre tout plus cher en quadruplant la taxe carbone au cours des six prochaines années.

Mais même si 70 % des Canadiens et 70 % des premiers ministres provinciaux ont demandé au premier ministre de renoncer à la hausse, il refuse de les écouter. La semaine dernière, Pierre Poilievre, chef des conservateurs de gros bon sens du Canada, a écrit à Trudeau pour lui demander de convoquer une réunion d’urgence avec tous les premiers ministres provinciaux afin de discuter d’alternatives à sa cruelle taxe carbone. Les premiers ministres provinciaux de Terre-Neuve-et-Labrador, du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse, de l’Ontario, de la Saskatchewan et de l’Alberta ont également écrit à Trudeau pour lui demander de convoquer une réunion d’urgence.

Justin Trudeau ne comprend pas que si l’on taxe l’agriculteur qui produit les aliments et le camionneur qui les expédie, on finit par taxer la famille qui achète les aliments.

C’est pourquoi les conservateurs de gros bon sens ont présenté aujourd’hui une motion à la Chambre des communes demandant au premier ministre de tenir une réunion d’urgence sur la crise de la taxe carbone avec les premiers ministres provinciaux du Canada afin de discuter de la possibilité pour les provinces de se retirer de la taxe fédérale sur le carbone et de poursuivre d’autres idées responsables pour réduire les émissions sans taxes.

Les conservateurs de gros bon sens continueront à travailler avec les premiers ministres provinciaux du Canada afin de faire baisser les prix pour les Canadiens.