Ottawa (Ontario) – L’honorable Pierre Poilievre, chef des conservateurs de gros bon sens du Canada et de l’Opposition officielle, annonce un plan pour ramener les emplois canadiens au pays en imposant des tarifs douaniers équivalents à ceux imposés par les États-Unis sur les véhicules électriques (VE) et leurs composants produits en Chine. Ce plan prévoit des droits de douane sur l’acier, l’aluminium, les minéraux essentiels et d’autres importations importantes, ainsi que la fin des rabais accordés aux véhicules électriques fabriqués en Chine.
Le problème :
Après neuf ans sous Justin Trudeau et le NPD, avec l’aide du Bloc, la vie coûte plus cher, le travail ne paie pas, le coût du logement a plus que doublé et a augmenté plus rapidement que dans n’importe quel autre pays du G7. La criminalité, le chaos, la drogue et le désordre envahissent nos rues autrefois sécuritaires. Il a doublé notre dette, imposé des hausses de taxes massives et trompeuses, et bloqué les activités pétrolières, gazières et minières des Canadiens pour permettre à des dictatures étrangères, comme la Chine, la Russie, l’Iran et le Venezuela, de prendre davantage le contrôle du marché. Trudeau dit admirer la dictature communiste de base de la Chine et il continue de reconnaître la dictature illégale de Maduro comme le gouvernement du Venezuela, même après que l’opposition démocratique a remporté les élections.
En 2014, la classe moyenne canadienne était plus riche que celle des États-Unis, mais aujourd’hui, l’OCDE prévoit que le Canada sera l’économie avancée la moins performante au cours de la prochaine décennie et des 30 années suivantes.
Il n’est pas étonnant que le PIB par personne du Canada ait diminué plus que celui de tout autre pays du G7, alors que la plupart des pays ont connu une croissance, et que l’OCDE affirme que le Canada aura la pire croissance de ses quelque 40 pays au cours de la présente décennie et des trois suivantes. Son plan visant à quadrupler les hausses de la taxe carbone mettra des centaines de milliers de Canadiens au chômage, alors que les propres données de son gouvernement montrent que cette taxe réduira le PIB de 25 milliards de dollars par an.
Aujourd’hui, Trudeau met en péril des centaines de milliers d’emplois dans les secteurs de l’acier, de l’aluminium, de l’exploitation minière et de la construction automobile en permettant à Pékin d’inonder nos marchés de véhicules électriques et d’autres produits fabriqués en Chine à des prix artificiellement bas, alors que notre principal partenaire commercial a appliqué des droits de douane pour maintenir les emplois aux États-Unis.
Le Parti communiste de Pékin (PCC) exploite la faiblesse de ses normes en matière de travail et d’environnement pour produire de l’acier, de l’aluminium et des véhicules électriques artificiellement bon marché, qui sont bien plus polluants. Il a également volé des technologies aux pays occidentaux, limité l’accès mondial aux chaînes d’approvisionnement en minerais essentiels et subventionné massivement ses industries de l’acier, de l’aluminium et des véhicules électriques. Il agit ainsi dans le but d’écraser les industries de l’acier, de l’aluminium, de l’exploitation minière et de la construction automobile dans des pays comme le Canada, ainsi que les centaines de milliers de travailleurs qui en dépendent.
Justin Trudeau n’a pas réussi à protéger les travailleurs canadiens des secteurs de l’acier, de l’aluminium, des mines et de l’automobile, permettant même que les dizaines de milliards de dollars investis dans les usines de batteries de VE soient dépensés pour des travailleurs de remplacement étrangers au lieu d’emplois pour les travailleurs canadiens. Il a permis que cela se produise, alors même que le chômage augmentait tout au long de l’été.
Trudeau a refusé d’emboîter le pas aux États-Unis en s’alignant sur leurs droits de douane sur les véhicules électriques fabriqués en Chine. Les États-Unis ont commencé à introduire des droits de douane pour contrer ce phénomène il y a six ans, ce qui a eu pour effet de tenir les véhicules électriques fabriqués en Chine largement à l’écart des routes américaines. Pendant ce temps, Trudeau n’a pratiquement rien fait, et les travailleurs canadiens en paient le prix. Pire encore, les libéraux offrent même des rabais pour les VE chinois. Cela signifie que le Canada subventionne littéralement la tentative du PCC de détruire l’industrie automobile canadienne.
Il taxe les voitures et le carburant fabriqués au Canada et subventionne les voitures fabriquées en Chine.
Nous avions l’habitude de battre les Américains en matière d’investissement – plus de dollars arrivaient au Canada en provenance des États-Unis que l’inverse. Mais depuis l’arrivée au pouvoir de Trudeau, une part de plus en plus importante de notre argent a quitté notre pays pour les États-Unis, l’écart s’élevant désormais à 460 milliards de dollars.
La solution :
Les travailleurs canadiens sont les meilleurs au monde et méritent de gagner de plus gros chèques de paie qui les protégeront contre les taxes et les dépenses inflationnistes de Trudeau. Plutôt que de permettre à des gouvernements autoritaires à l’étranger de bénéficier de normes de travail peu élevées et d’énergie polluée, nous devons ramener au pays davantage de produits fabriqués au Canada par des travailleurs bien rémunérés, en utilisant de l’énergie propre produite au Canada.
Les travailleurs canadiens méritent des salaires élevés et des emplois sûrs. C’est pourquoi les conservateurs de gros bon sens ont présenté un plan visant à égaler notre plus proche partenaire commercial et :
- d’instaurer des droits de douane de 100 % sur les VE fabriqués en Chine et entrant au Canada.
- d’instaurer des droits de douane de 50 % sur les semi-conducteurs et les cellules solaires.
- d’instaurer des droits de douane de 25 % sur les produits en acier et en aluminium, le graphite, d’autres minéraux essentiels, les batteries de véhicules électriques, les pièces de batteries, le graphite, les aimants permanents et les grues de navire à quai.
- de veiller à ce qu’il n’y ait plus de rabais pour les VE fabriqués en Chine.
« Un gouvernement conservateur de gros bon sens abrogera également le projet de loi C-69 afin de ramener davantage de projets miniers et énergétiques et adoptera une réduction de gros bon sens de la taxe, qui abaissera les taxes sur le travail, l’investissement et la fabrication de produits au Canada, afin que les entreprises ramènent leur production et que les travailleurs ramènent une plus grande partie de leurs chèques de paie. Les conservateurs de gros bon sens ramèneront de plus gros chèques de paie pour nos concitoyens. Et nous aurons un premier ministre qui donnera la priorité aux travailleurs du Canada : notre population, sur notre sol, sous notre drapeau. Voilà ce que signifie ramenons le gros bon sens. »