Le plan « Le Canada d’abord » prévoit l’envoi de troupes militaires et d’hélicoptères à la frontière MAINTENANT, l’ajout de 2 000 nouveaux agents frontaliers, l’octroi de pouvoirs à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) sur l’ensemble de la frontière et bien plus encore.

Vancouver (Colombie-Britannique) – Le chef conservateur Pierre Poilievre a dévoilé aujourd’hui son plan pour reprendre le contrôle de la frontière et mettre le Canada d’abord. Ce plan empêchera le fentanyl, les armes, les drogues, les trafiquants de personnes et les terroristes d’entrer dans notre pays, et de protéger les Canadiens.

« Le gouvernement libéral a perdu le contrôle de la frontière », a déclaré Poilievre. « Il n’aurait pas dû falloir des avertissements d’un autre pays pour que les libéraux fassent des pieds et des mains pour réparer leur politique frontalière désastreuse et brisée. Je reprendrai le contrôle de nos frontières, j’empêcherai le fentanyl de tuer notre population et je mettrai le Canada d’abord. »  

 Le plan en six points de Poilievre : 

  1. Déployer des troupes des Forces canadiennes à la frontière, ainsi que des hélicoptères militaires et des moyens de surveillance maintenant.
  2. Ajouter au moins 2 000 agents frontaliers et ;
  3. Élargir les pouvoirs de l’ASFC à l’ensemble de la frontière, et pas seulement aux points de passage.
  4. Installer des tours de surveillance des frontières, ainsi que des systèmes de drones montés sur des camions pour repérer les incursions à la frontière.
  5. Installer de puissants scanneurs à tous les principaux points de passage terrestres et ports d’embarquement. Ces scanneurs peuvent voir à travers les parois des conteneurs ou des véhicules pour détecter les drogues, les armes et les voitures volées.
  6. Suivre les départs afin que les fonctionnaires gouvernementaux sachent quelles sont les personnes expulsées qui se trouvent illégalement au Canada.

« Rien ne justifie les tarifs douaniers injustes et injustifiés du président Trump. Mais la frontière doit être réparée pour le bien des Canadiens. Le résultat du chaos frontalier des libéraux et de leurs politiques de tolérance à l’égard de la criminalité a été la contrebande d’armes à feu qui alimente les crimes violents, un système d’immigration complètement hors de contrôle, ainsi que le fentanyl et la traite de personnes qui détruisent des vies », a conclu Poilievre. 

49 000 Canadiens sont morts d’une surdose d’opioïdes au cours des neuf dernières années, la plupart des ingrédients de ces drogues mortels provenant de Chine et du Mexique. En Colombie-Britannique, la police a récemment découvert un superlaboratoire contenant suffisamment de fentanyl et de matériaux pour tuer 95 millions de personnes. Seul 1 % des conteneurs d’expédition sont inspectés à leur arrivée dans notre pays, ce qui permet aux drogues et aux armes de se faufiler dans les 99 % restants.

Après 9 ans sous le gouvernement libéral, les crimes liés aux armes à feu ont augmenté de 116 %. L’Association de la police de Toronto affirme que 85 % des infractions liées aux armes à feu sont commises avec des armes à feu illégales en provenance des États-Unis. Les services de sécurité canadiens ont identifié 350 réseaux de crime organisé opérant à l’intérieur de nos frontières. Soixante-trois de ces groupes ont des liens internationaux avec la Chine, le Mexique et d’autres pays.

Le gouvernement libéral a laissé entrer au Canada de multiples terroristes de l’État islamique, dont un homme qui aurait été filmé en train de démembrer un corps humain sur un crucifix au Moyen-Orient – le même homme accusé d’avoir planifié une attaque terroriste au Canada. Le gouvernement admet qu’il a perdu le compte du nombre de personnes présentes illégalement au Canada. Selon un rapport gouvernemental, ce nombre se situerait entre 20 000 et 500 000 personnes.

L’incompétence des libéraux et leur programme postnational radical sont à l’origine de ce problème. Le plan de gros bon sens de Poilievre va réparer ce que les libéraux ont brisé. Pour financer ce plan, Poilievre a déclaré qu’il supprimerait le programme raté de rachat d’armes à feu des libéraux qui, malgré 4 ans et 67 millions de dollars, n’a pas réussi à retirer une seule arme de nos rues. La suppression de ce programme permettra d’économiser 600 millions de dollars, qui serviront à sécuriser notre frontière contre les armes illégales. Poilievre a également déclaré qu’il réduirait de plusieurs millions de dollars le recours à des consultants coûteux et qu’il réduirait, par attrition, des milliers de postes bureaucratiques. 

Les conservateurs de gros bon sens reprendront le contrôle de notre frontière et mettront le Canada d’abord.