Ottawa (Ontario) – Michael Barrett, ministre du Cabinet fantôme responsable de l’Éthique et du Gouvernement responsable, et Larry Brock, député conservateur de Brantford-Brant, ont fait la déclaration suivante sur le fait que le gouvernement Libéral-NPD a bloqué le témoignage de la GRC :
«Justin Trudeau a été reconnu coupable d’avoir enfreint la législation canadienne en matière d’éthique dans ses efforts pour protéger une entreprise corrompue et liée à la politique, en renvoyant sa première procureure générale autochtone, qui n’a pas voulu se plier à la campagne de pression politique orchestrée par le premier ministre.
« La semaine dernière, les Canadiens ont découvert que la GRC n’était pas en mesure de mener une enquête criminelle parce que le premier ministre refusait de lui fournir les informations dont elle avait besoin. La GRC a demandé au premier ministre de faire preuve de transparence, mais il a refusé de remettre des documents ou de laisser témoigner des personnes impliquées dans l’affaire.
« Le Rapport Trudeau II de l’ancien commissaire à l’éthique indique que de nombreux témoins ont déclaré qu’ils avaient des preuves pertinentes à offrir, mais qu’ils étaient limités par les restrictions mises en place par le premier ministre Justin Trudeau. Ces mêmes tactiques ont empêché la GRC d’examiner la possibilité d’engager des poursuites pénales dans le cadre de la campagne orchestrée et systématique menée par Trudeau pour faire pression sur la procureure générale Jody Wilson-Raybould afin qu’elle passe outre l’avis du Service des poursuites pénales indépendant et propose à SNC un accord de poursuite différée.
« Aujourd’hui, la coalition Libéral-NPD-Bloc censure la GRC en empêchant le commissaire de témoigner au comité. IIs font tout leur possible pour protéger le premier ministre d’éventuelles accusations criminelles.
« Les conservateurs de gros bon sens continueront à demander des comptes au gouvernement Libéral-NPD et à leurs alliés du Bloc. Les Canadiens méritent la transparence et ont le droit de savoir si le premier ministre a enfreint la loi. Un gouvernement Poilievre mettra fin aux dissimulations et ramènera le gros bon sens avec la transparence au sein du gouvernement fédéral. »