Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, la dangereuse expérience Libéral-NPD de décriminalisation des drogues dures a échoué. Cela a été confirmé la semaine dernière lorsque le premier ministre provincial néo-démocrate David Eby a demandé à Trudeau de revenir sur des éléments importants de son programme de décriminalisation.

Les libéraux de Trudeau ont inondé les rues d’opioïdes dangereux et ont ignoré toutes les preuves démontrant que cela a ruiné la vie d’innombrables Canadiens. Depuis que Trudeau a formé le gouvernement, 42 000 Canadiens sont morts de surdoses de drogues. Rien qu’en Colombie-Britannique, la province a connu une augmentation de près de 400 % des décès par surdose, mais le gouvernement Libéral-NPD a quand même décidé de décriminaliser les opioïdes, la cocaïne, l’héroïne et la méthamphétamine. Depuis la décriminalisation, le chaos et le désordre règnent librement dans les espaces publics de la Colombie-Britannique.

En outre, il est de plus en plus évident que les drogues financées par les contribuables continuent d’être détournées. De nombreuses descentes de police ont montré que des drogues dites « d’approvisionnement sécuritaire » se retrouvaient entre les mains du crime organisé et étaient vendues à des adolescents dans tout le pays, entraînant nos jeunes dans le cycle destructeur de la toxicomanie. Le prix de l’hydromorphone dans la rue a également chuté de façon spectaculaire, condamnant les personnes souffrant de dépendance à une vie de misère. Malgré cela, la ministre de la Santé mentale et des Dépendances de Trudeau a refusé de prendre des mesures immédiates pour accepter la demande de la Colombie-Britannique et a refusé d’exclure une politique de décriminalisation encore plus extrême à Toronto.

Lundi, les conservateurs de gros bon sens ont demandé au Président de la Chambre des communes de tenir un débat d’urgence sur la politique de décriminalisation imprudente de Trudeau. Cette décision scandaleuse va à l’encontre de la nécessité urgente d’agir pour mettre fin à cette crise. En conséquence, les conservateurs demandent au gouvernement libéral d’user de son autorité pour organiser lui-même un débat sur l’enjeu.

Les conservateurs de gros bon sens appellent à mettre un terme à l’expérience mortelle et ratée de Trudeau et du NPD en matière de décriminalisation et de drogues dures financées par les contribuables. Nous redonnerons espoir aux plus vulnérables en investissant dans le rétablissement, et non dans les drogues dures financées par les contribuables.