OTTAWA (Ontario) – Aujourd’hui, le député conservateur de Red Deer-Lacombe, Blaine Calkins, a présenté le projet de loi C-368, Loi modifiant la Loi sur les aliments et drogues (produits de santé naturels).

Le projet de loi C-368 des conservateurs de gros bon sens abroge les articles 500 à 504 du projet de loi C-47 du gouvernement libéral, qui traite de la réglementation des produits de santé naturels au Canada.

Par le biais de leur projet de loi, le gouvernement a permis à Santé Canada de réglementer les suppléments de santé naturels de la même manière que les médicaments thérapeutiques synthétiques. Ces nouvelles réglementations visent à imposer de nouveaux frais substantiels sur l’importation, la fabrication et la vente de produits de santé naturels, ainsi que de nouvelles lois strictes sur l’étiquetage.

« Le projet de loi C-47 des libéraux est sur le point de perturber considérablement le marché et représente une attaque directe contre les consommateurs et les petites entreprises du Canada. En réponse, je dépose le projet de loi C-368, conçu pour démanteler cette bureaucratie inutile et restrictive, et pour rétablir le statut légitime des produits de santé naturels au Canada », a déclaré le député Calkins. 

Un pourcentage alarmant de 70 % des marques ont indiqué qu’elles devraient retirer des produits du marché, et une sur cinq envisage de quitter le Canada. Les réglementations existantes garantissent déjà la sécurité de ces produits de santé naturels.

« Comme à leur habitude, les libéraux ont introduit des changements qui ne sont pas seulement des formalités administratives, mais des chaînes qui lient les mains de nos entrepreneurs, étouffant l’innovation et limitant le choix des consommateurs. Les Canadiens dépendent quotidiennement de ces produits. Ils comprennent des protéines en poudre, des vitamines, des probiotiques et bien d’autres », a déclaré le député Calkins.

« Les conservateurs de gros bon sens s’opposeront à cette ingérence gouvernementale et protégeront les droits fondamentaux des Canadiens à faire leurs propres choix en matière de santé, sans ingérence indue de la part d’Ottawa », a conclu le député Calkins.