Ottawa (Ontario) – Après huit ans, Justin Trudeau n’écoute plus les Canadiens. Alors qu’une personne sur dix à Toronto doit faire appel aux banques alimentaires et que plus de la moitié des Canadiens sont à 200 $ près de ne pas pouvoir payer leurs factures, Justin Trudeau est allé de l’avant avec une augmentation de 23 % de sa taxe carbone le 1er avril.

Trudeau a décidé d’augmenter la taxe carbone alors que 70 % des Canadiens et 70 % des premiers ministres provinciaux s’y opposaient. Il a même refusé d’écouter son ancien allié libéral, le premier ministre provincial de Terre-Neuve-et-Labrador, ainsi que trois autres partis libéraux provinciaux, qui lui ont demandé de ne pas augmenter la taxe. Le premier ministre provincial du Manitoba a également déclaré que la taxe carbone ne devrait pas s’appliquer dans sa province. Justin Trudeau ne comprend tout simplement pas que si l’on taxe l’agriculteur qui produit la nourriture et le camionneur qui l’expédie, on taxe la famille qui achète la nourriture.

Maintenant, Justin Trudeau refuse de rencontrer le chef des conservateurs de gros bon sens, Pierre Poilievre, ainsi que les premiers ministres provinciaux de Terre-Neuve-et-Labrador, du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse, de l’Ontario, de la Saskatchewan et de l’Alberta qui lui ont écrit pour lui demander de discuter de solutions de rechange à sa cruelle taxe carbone.

C’est pourquoi la Chambre des communes a adopté une motion conservatrice de gros bon sens demandant à Trudeau d’organiser une réunion d’urgence télévisée sur la taxe carbone avec les 14 premiers ministres du Canada dans un délai de cinq semaines. Trudeau a la responsabilité d’écouter les premiers ministres provinciaux du Canada au sujet de la misère que sa taxe carbone cause aux Canadiens. Lors de cette réunion, il doit également permettre aux provinces de se soustraire à la taxe fédérale sur le carbone et de rechercher d’autres idées responsables pour réduire les émissions sans taxes.

En cette période historique de crise du coût de la vie, il est clair que les Canadiens ont besoin d’aide, et non de taxes supplémentaires. Seuls les conservateurs de gros bon sens travailleront avec les premiers ministres provinciaux du Canada pour faire baisser les prix pour tous les Canadiens.